Posts Tagged ‘seins’

Mon excuse pour montrer mes seins

septembre 16, 2015

bague 2

J’ai une bague en forme de boucle. Look at it.

bague

Seins, etc

décembre 18, 2014

co dodo sexe

Mercredi, c’est la journée de publication de ma chronique Canoé! Cette semaine: une sextrospective de l’année 2014. Des seins, des fesses, de la porno qui dérange.

Je fais aussi partie, depuis peu, de l’équipe de collabos de TPL Moms. J’y écris sur le sexe (WOUHOU, vous être surpris, right?).

Mes deux premières chroniques sont sur la sexualité des parents et sur des trucs pour retrouver l’envie de baiser.

Enjoy!

Jeudi envies: du gras de ventre ou des seins?

août 3, 2012

J’aime les histoires de stripper et j’aime parler de stripper (les meilleures sont à Montréal, selon un auteur-player américain, wouhou).

Je suis tombée sur un tumblr vraiment cool, celui d’une stripper qui parle de tout, de ses tournées, des autres filles qui dansent ou se tripotent ou piquent des crises, des clients qu’elle aime, de ceux qu’elle n’aime pas et il y en a des franchement bizarres, comme celui-ci :

« The guy who completely ruined my night is too tiring to write about, so I’ll jump right to when we were in VIP. He had been told explicitly by me that he couldn’t touch my breasts. He tried to touch my crotch first, which to his credit, I hadn’t said anything about. He kept whimpering about not being able to touch my breasts before falling silent into a deep sulk and grasping my stomach fat.

Like, gathering up as much skin and fat as he could in each hand, and then squeezing and twisting it. I endured this, waiting out the rest of my 2:00 songs like a sentence. At first I wondered to myself how someone could be an adult and most likely married without ever having learned how to touch a woman. And then, I realized that he had just settled on pretending my stomach rolls were nippleless breasts. »

Faire semblant que du gras de ventre, c’est des seins? Pour bien bander? Gosh. Le pouvoir de l’imagination.

Une envie de flasher ses seins

mars 13, 2012

Je fête tous les ans mon augmentation mammaire. C’est à la Saint-Laurent, au mois d’août. Je n’ai pas encore assez perfectionné l’art des cupcakes pour m’en faire en forme de seins avec mamelon et tout, mais je n’oublie jamais les chandelles, et ma copine Misha me donne des jujubes à cette occasion too much spéciale.

Je suis vraiment fière de mes seins. Avant j’étais fière de leur symétrie – même mon chirurgien m’avait dit que c’était rare, des seins aussi symétriques que les miens. Mais fuck la symétrie, je voulais du gros, je voulais être comme j’étais dans ma tête : une bombe plutôt qu’une jolie fille avec des seins plus plats que ceux d’une adolescente de douze ans.

Je suis vraiment fière et je les montre souvent parce que je porte des robes qui tombent facilement et que j’allaite n’importe où. Mais je pense que je ne les ai jamais montrés aussi délibérément que les chicks dans la publicité du Dr Élise Bernier. Elles sont coquines, prêtes à montrer leurs superbes seins à la buanderie et à parasiter de manière total charmante une photo souvenir.

Dre Elise Bernier from Docteure Élise Dernier on Vimeo.

Ça donne envie. Et ça montre que les seins refaits, ce ne sont pas de faux seins, et ce ne sont pas des seins qui donnent automatiquement l’air d’une star de la porno californienne.

Si je vous montre cette vidéo, c’est parce que je la trouve très chouette et amusante, mais c’est dans le cadre d’une publicité. Je ne vous dis pas go go go sur la table d’opération. Et si vous décidez de passer sous le bistouri, informez-vous avant, beaucoup, sur les implants choisis, les risques, le temps de convalescence.

Site web du Dr Élise Bernier (qui a deux chiens et deux chats et qui aime les poires au vin rouge – yummy) : http://elisebernier.ca/

Sucer en mini shorts et rollerblades

septembre 19, 2009

lecture: Victor Malarek, The Johns, Sex for sale and the men who buy it

drame de la journée: j’ai les ongles tout cassés

J’enfile des mini shorts en coton jaune poussin American Apparel, des bas aux genoux et mes rollerblades, pour ressembler à Ellen Page et à Drew Barrymore dans leur photoshoot du Marie-Claire du mois d’octobre. Je dis à Alexandre Le Grand je vais me toucher, quand tu auras terminé de répondre à tes courriels, tu viens goûter mes doigts tout plein de mouille? Je plaque mon vibro contre mon clito, assise sur le bord du lit, et je regarde mes jambes en jouissant, elles sont belles mes jambes, toutes écartées et tendues presque à en avoir des crampes.

Je vais me chercher un verre d’eau gazéifiée, Alexandre Le Grand me suit dans la chambre, il dit j’ai envie de te la mettre entre les fesses. Son téléphone sonne, il répond, et il commence à parler de petit chien qui mange des livres. Je pose mon verre d’eau sur la table de chevet et je commence à caresser mon mec, à faire durcir sa bite coincée dans ses jeans. Je chantonne la chanson que le garçonnet d’Élise voulait trop écouter l’autre soir, quand je jouais à la babysitter, Oh I’m a gummy bear, Yes I’m a gummy bear, Oh I’m a yummy tummy funny lucky gummy bear, I’m a jelly bear, Cause I’m a gummy bear, Oh I’m movin’ groovin’ jammin’ singing gummy bear.

Je me trouve totale bandante de chanter ça, en retirant la ceinture d’Alexandre Le Grand et en déboutonnant son jeans. Il pose une main sur ma bouche et il dit au téléphone j’ai drogué Mélodie, elle déconne, tu veux chanter pour Gaspard, salope? Je secoue la tête, je me penche vers sa bite, je le suçotte, j’ai la bouche déjà trop pleine pour chanter que je suis un putain de jujube qui groove. Alexandre Le Grand me repousse, il se couche, place deux oreillers sous sa tête et étire ses jambes. Je lèche ses couilles et passe doucement mes seins sur sa bite, je rigole en faisant durcir mes mamelons contre son gland. Il parle des nouveaux t-shirts qu’il s’est commandé sur le net et encore de petit chien qui mange des livres et il demande à son ami s’il peut luncher avec lui le lendemain.

De sa main libre, il glisse mes cheveux derrière mes oreilles, je lui souris, en sortant la langue. J’écrase mes seins, je tente de les serrer le plus possible contre sa bite, en m’aidant de mes mains. Je bouge, je le crosse avec mes boules, je veux son sperme sur mon corps et l’obliger à parler d’une voix essouflée. Il jouit, j’ai une louche de sperme qui coule dans mon cou. Il raccroche en souhaitant une bonne soirée à Gaspard. Je claque mes rollerblades l’un contre l’autre, je les retire et nous allons à la cuisine, préparer le souper ensemble.

Tendance langue sale et pintes blondes

août 17, 2009

Trop crémeuse pour être traditionnelle

J’étends comme cinq cent calories de crème Philadelphia herbes et ail sur mon bagel, en lisant et en échappant des graines de sésame entre les pages du livre Le sexe écolo. Alexandre Le Grand claque la porte, dépose des bouteilles de vin sur le comptoir et vient m’embrasser. Je le regarde et je lui dis tu as piqué une casquette? Il sourit comme un gamin, et il dit non, la SAQ donne des casquettes Jack Daniels gratuites. Je trouve qu’il est super chou avec ça sur la tête, mais sous la visière, ça cloche, c’est indiqué la modération a bien meilleur goût. Il prend mon couteau, encore crémeux et me l’essuie contre un téton, je crie c’est froid, c’est froid, et il me lèche. Il dit tu as encore faim, tu voudrais pas te faire baiser au lieu de grossir? Et je dis oh je vais te mordre la queue, donne-la moi, je vais te la mordre espèce de salaud, et je réussis à mettre sa casquette sur ma tête, à ouvrir son jeans, mais il me prend les poignets, je me débats et je crie Paprikalicious, sauve-moi, attaque-le sinon je te donne plus de yogourts comme collation!

Note à moi-même : nettoyer plus souvent le plancher habillée en french maid

Il garde mes poignets dans une main et me gifle, doucement, mais j’ai super peur et je recule, il me gifle encore, plus fort et il me pousse, j’ai un coin de la table dans le ventre. Il me demande de relever ma robe, jusqu’au milieu de mon dos, et d’écraser mon visage contre la table, je le devine retirer son t-shirt, le jeter derrière lui, et il crache dans sa main, et la passe contre mes lèvres, pour m’ouvrir et m’exciter. Il frotte sa bite entre mes fesses et me l’enfonce dans la chatte, il me dit de la fermer, de pas crier, la fenêtre est ouverte, une voisine promène son caniche royal, et ça sent la viande brûlée au barbecue.

Il tire mes cheveux, pour que je me redresse et que je le regarde jouir, dans le miroir. Il me demande de lui amener un mouchoir, pour qu’il s’essuie le gland, et j’y vais, avec son sperme qui coule sur mes cuisses et sur le plancher, un peu. Sans me regarder, Alexandre Le Grand me dit de me mettre à quatre pattes et de nettoyer le plancher avec ma langue. Il téléphone mon frère Philippe, pendant que je crache dans le lavabo des gouttes de sperme et des poils de chats.

Le sauvetage de petits oiseaux et le travail à l’étranger, c’est hot

Nous rejoignons Philippe au bar Chez Roger, des passants s’arrêtent presque pour regarder mes seins, Alexandre Le Grand est total fier. J’embrasse Philippe, il dit j’ai déjà acheté les billets pour OSS 117. Nous commandons des pintes de Cheval Blanc. Philippe nous raconte sa journée, il a sauvé un petit oiseau, il l’a trouvé sonné, il avait sans doute heurté le trottoir, et Philippe a piqué le brownies d’un de ses collègues et il a nourri l’oiseau comme ça, à petites bouchées de choco et d’arachides, et après l’oiseau s’est envolé. Alexandre Le Grand regarde ses courriels sur son Iphone, il dit j’ai un ami qui s’en va en Jordanie pour trois mois, tu sais, celui qui revient tout juste de travailler un an au Kenya, et je fais wouah, celui qui m’a envoyé des photos de pandas roux et de sa queue entre les seins d’une black aux mamelons poilus ?

Philippe dit moi j’aimerais travailler en Israël, pour les plages, il se retourne vers mon mec, tu étais encore étudiant quand tu es parti travailler en Arabie Saoudite ? Alexandre Le Grand dit oui, en sabbatique, je sortais tous les soirs, avec d’autres Français, et un chauffeur nous amenait au Koweit, c’était en 1992, c’était le bordel, en Arabie Saoudite, il n’y avait pas d’alcool, mais au Koweit, il y avait tout, des putes maso, des danseuses qui se rentraient des couteaux dans la chatte, j’ai ramené de l’or, en cadeau, et des tapis.

C’est pas bon pour le karma de faire pipi à côté du brother-in-law de Jessica Simpson

Philippe termine les amandes et les noix d’acajou salées, et nous nous rendons au Cinéma Beaubien. Je fais semblant de lécher la face d’Audrey Tautou, métamorphosée en Coco Chanel, sur une affiche annonçant son prochain film. Philippe pointe une fille qui ressemble à Jessica Simpson, il dit au show de Blink 182, Marky Mark et moi on a réussi à se rendre au parterre du Centre Bell, et Marky Mark a pissé dans des verres de bière, il en a fait débordé un, à deux mètres de Pete Wentz, je m’en fous de Pete Wentz, mais il embrasse Jessica Simpson et il la serre dans ses bras, alors c’était comme si j’étais proche de Jessica Simpson aussi, c’était cool, tu penses que j’aurais une chance de me la faire si je lui racontais comment j’ai sauvé un petit oiseau ?

Je suis une chienne qui fait de beaux rêves

juillet 29, 2009

Breuvage : Boris lychee et pomme verte

État de mes ongles : lamentable

Je me regarde dans le miroir, j’attache mes cheveux, puis je les détache, j’ai les cheveux frisés, d’être restée sous l’orage trop longtemps, les belles-filles se baignaient en souhaitant voir un arc-en-ciel apparaître dans le lac, et moi je voulais être toute mouillée, pour me rappeler l’été de mes quatorze ou quinze ans, quand je courais dehors, dès qu’il pleuvait très fort, pour rejoindre ma cousine, à deux rues de chez moi, à Repentigny, et nous étions toutes seules dehors, sous le vent et la pluie, et nous croyions que nous étions alors les plus cools, en tout cas moi je le croyais. Surtout quand les copains black de ma cousine nous baisaient dans la salle de bain des parents, après nous avoir traînées sur le sol, les jupes collées à nos jambes, trop mouillées.

Je garde les cheveux détachés, pour qu’Alexandre Le Grand puisse me baiser en les tirant très fort. Je me brosse les dents, je veux un putain de blanchiment de dents, bientôt, et je souhaite bonne nuit aux belles-filles. Je me prends un bouquin de chick lit, Fashionably Late, une histoire pas encore divertissante au bout de trente pages, et Alexandre Le Grand me plaque contre le mur de bois, dans le corridor, et il me dit garde ta tunique, salope, ne te déshabille pas, et il tire sur le tissu de la tunique, un cadeau de Sarah Lee, pour bien découvrir mes seins, et me les mordre.

Dans la chambre je m’allonge sur le lit, je place deux oreillers sous ma tête, et je pince mes tétons, pour qu’ils soient tout durs et encore plus sensibles. Alexandre Le Grand me traite de salope, il me dit d’arrêter de me caresser et de m’occuper de sa queue, tout de suite. Je me rends vers lui, à quatre pattes sur le lit, et je lui retire son t-shirt, et sa ceinture, et ses bermudas tachés de vinaigrette au miel. Il me fourre sa bite dans la bouche et il me dit elle doit encore goûter ta chatte, tu aimes, et je fais juste hocher la tête, comme je peux, et il me repousse. Il me demande de rester à quatre pattes, et de me retourner, et il me prend comme ça, il serre mon épaule, et ma taille, il me pénètre à grands coups, il me dit de bouffer les draps pour pas crier. J’essaie de passer une main entre mes jambes pour caresser ses couilles.

Alexandre Le Grand joui en grognant et je mords très fort dans les draps. Son sperme coule déjà sur mes cuisses et il me demande de tout boire. Je passe mes mains entre mes cuisses, je lèche mes doigts, tout luisants de ma mouille super dense, et de son sperme, et il me caresse le clito, en me regardant, et juste avant que je jouisse, il arrête, il m’embrasse les lèvres et il me souhaite une bonne nuit.