Archive for mars 2009

J’aurais viré pute après deux mois dans une sororité

mars 28, 2009

 

lecture: Steve Mosby, Un sur deux

désir du moment: voir des photos des jumeaux de Jenna Jameson

 

Alexandre Le Grand est malade, il prend que des soupes comme repas, soupe aux petits pois, soupe aux carottes-gingembre-courge, soupe aux poulet et nouilles, et il se couche très tôt, bourré d’aspirines, avec un col roulé gris foncé. Je l’embrasse, je lui rappelle qu’il n’est pas obligé de m’amener au travail le lendemain, je peux prendre l’autobus comme une grande fille, avec le Us Weekly de la semaine comme compagnie, au lieu des podcasts de Jacques Languirand, qu’on écoute un peu, tous les matins. Je vais sous les couvertures, il est tout chaud et moi je suis froide, j’ai les mains gelées durant toute l’année, faut que je fasse gaffe à pas toucher ses couilles sinon sa grippe se change en quasi mort instantanée. Je lape sa bite comme un petit chat, je fais tourner ma langue autour de son gland, il bande et je le suçotte. Il dit je ne vois pas bien ton cul, tourne-toi, mets-toi sur le côté, et il me pince les fesses, et il me dit que je suis trop belle, comme ça, pour lui. Juste avant de jouir, il tire mes cheveux et j’avale son sperme de mec en col roulé gris foncé.

 

J’éteins la lumière dans la chambre, et je vais au salon, terminer ma lecture de Je ne t’aime pas, Paulus, un roman pour enfants trop chou, qui me fait rire à chaque dix phrases et pleurer autant que mercredi soir devant le dernier épisode des Invincibles. Je vais me coucher avec Paprikalicious dans les bras, mais une fois au lit, à côté d’Alexandre Le Grand, j’ai trop envie de me faire défoncer la chatte et de jouir. Je sais que je ne peux pas le réveiller pour avoir sa bite, le pauvre malade, ni utiliser mon vibro parce qu’il fait un bruit de robot qui déraille. Je peux juste pas dormir sans jouer avec mon clito, alors je décide de me faire jouir avec mes putain de doigts. Je pense que je me suis pas branlée depuis dix ans genre, mais c’est comme un cas d’extrême urgence. Si je jouis pas, j’aurai pas mon beauty sleep, c’est sûr. Et je suis zombie dès que j’ai pas sept heures trente de sommeil dans le corps, c’est déplorable. Super injuste.

 

Je me souviens du livre de Djian que je lisais en salissant les pages de ma mouille, toujours les mêmes pages, trois, quatre pages d’un trip à trois trop hot. Je pense au livre sur les sororités que j’ai lu, il y a quelques temps, totale déçue de pas être née aux États-Unis. J’aurais étudié jusqu’au doctorat juste pour vivre super longtemps la vie de pétasse sur un campus super cotée et tout. Je pense aux sororités, aux petites pétasses qui m’accepteraient dans leur clan, qui m’initieraient en me plaquant contre un mur, elles inviteraient les mecs des fraternités les plus hot à se souler et à me baiser, un me lécherait pour déterminer si je goûte bon, il dirait oui, et une fille me lécherait et elle dirait faut que tu jouisse grâce à moi sinon toute la fraternité te passe dessus, et je serais stressée, et un mec me toucherait les seins, les comparerait à ceux des autres filles, un mec garderait dans sa bouche les glaçons de ses drinks et il les ferait fondre tout doucement sur l’épaule, entre les seins, et je sentirais l’eau se réfugier dans mon nombril, et plus bas, se mélanger à ma mouille et à la salive de la pétasse qui me lécherait à genoux.

 

Des mecs se branleraient en me regardant, en me disant qu’ils vont bien me remplir de leur foutre, que je vais être trop bonne à baiser. Il y en a un qui veut tout de suite jouir, sur ma face, alors je suis forcée à me coucher, sur le sol, devant plein de bites bandées. La fille me rentre sa langue dans ma chatte et me pince le clito. Un mec la repousse, se met entre mes jambes et me pénètre en me branlant, il dit jouis salope, jouis, je ferme les yeux, je reçois du sperme dans la bouche, sur mes joues et mon cou, et je jouis enfin. Je sens ma mouille sur mes doigts et je m’endors, jusqu’à sept heures, le lendemain matin, avec mon anticernes déjà dans une poche de mon sac Guess.

 

Appel à tous les obsédés

mars 28, 2009

J’ai reçu ce commentaire dans un de mes billets récents, je l’ai trouvé tout candide et intéressant. Lisez-le bien, je tente d’y répondre après, mais je suis sûre que ma gentille lectrice serait heureuse d’avoir des feedbacks d’autres chéris.  

« Salut!
 
Je viens de commencer à lire ton blog et il est vraiment extra, sérieusement nice job! Je savais pas trop où écrire pour poser une question donc j’ai décidé de t’écrire ici.
 
J’ai 18 ans et je suis pas encore une experte en sexe (mais aspire à le devenir 😛 ) et j’ai un chum depuis environ 1 an. Hier, on a baisé et pendant qu’on baisait, j’ai jouï et en même temps, y’a comme un petit jet de mouille qui est sorti. Je suis une fille qui mouille quand même facilement et c’était la première fois hier pourtant, que ça m’arrivait comme cela (et pourtant on fait l’amour 5 jours/semaine depuis qu’on sort ensemble et il réussit toujours à me faire jouir à en crier.). J’étais quand même hyper gênée vu que je savais pas trop c’était quoi l’affaire. Ensuite, on en a déduit que j’étais une femme-fontaine. Comme c’était la première fois que ça m’arrivait, je sais pas trop ce que les gars en pensent; j’ai demandé à mon chum si c’était un turn-off ou autres et il m’a dit que non. Par contre, j’aimerais quand même savoir ce que les gars pensent de ça parce que ça me stresse un peu.
 
Vu que tu as l’air d’avoir beaucoup d’expériences et d’en connaître beaucoup sur le sexe et sur ce que les gars aiment, pourrais-tu me dire ce que les gars pensent vraiment des femmes-fontaines?
 
Merci
! »

Chère Miss Daisy (cute, cute, ton surnom),

Merci de me lire, je suis toute contente que tu aies découvert mon espace coquin. First, je t’envie en crisse parce que tu as 18 ans et tu jouis à tous les jours. Fuck, moi à dix-huit ans, je baisais tout le temps, mais je jouissais genre à tous les 3 mois.

Et puis pour ton éjac, je trouve ça bien cool. Moi aussi ça m’est arrivée une seule fois, et c’était tellement mouillé sur les draps, je trouvais ça étrange, mais j’étais toute fière, comme si j’avais eu une jouissance encore plus ultra qu’ultra. Mon mec était super content, il était sûr que c’était grâce à lui et ses talents incroyables de baiseur que j’avais éjaculé comme ça. Mais sans joke, je sais pas pourquoi, je sais pas si c’était mon best-ever orgasme au monde, ou parce qu’il a touché un point extra-sensible-powerful. J’ai un copain qui est longtemps sorti avec une femme-fontaine et il tripait, il regrette beaucoup de ne pas se retrouver avec des filles qui ne jouissent pas aussi spectaculairement.

Ma copine Liliane travaille comme performeuse à la webcam, j’en parle parfois ici. Et si tu lui demandes si les gars aiment les femmes-fontaines, elle va te dire qu’ils adorent trop. Une de ses collègues est capable d’orgasmer comme ça sur demande, toujours toujours, et elle est super populaire, les clients sont curieux et ils trouvent ça excitant. Pour eux une fille qui éjacule comme ça, avec autant de liquide, c’est une chick qui aime vraiment vraiment être cochonne. C’est comme la preuve d’une sexualité exacerbée et trop hot. Ma copine Liliane jouit parfois style femme-fontaine, mais assez rarement. Lorsque ça arrive, ses clients se sentent super privilégiés et ils lui en reparlent pendant des semaines.

Je crois que je serais gênée aussi d’éjaculer tout le temps, parce que bon, le mec est mouillé, les draps sont mouillés, et on pense inévitablement oh fuck, c’est ma mouille ou de la pisse. Mais je serais aussi super fière et je me sentirais femme fatale. So, Miss Daisy, future diplômée en expertises sexuelles, tu es une femme fatale.

Bisous ! Et baise bien ce weekend !

mélodie

Nous sommes des salopes voraces

mars 28, 2009

 

Ma copine Pamela, qui aime le rose, manger des céréales devant son ordinateur au bureau et rêver à des mecs qui ressemblent à Tobie Lolness : « Je ne peux pas aller à ta fête. J’ai trop peur que toutes tes amies me touchent les seins. »

 

Avoir une langue sur son clito, ça fait oublier le vernis pas sec et genre le Darfour

mars 27, 2009

Lecture : Christiane Duchesne, La Ville Sans Nom

Breuvage : Stewart’s Vanilla Cream

 

Je retouche mon vernis berry licious, au lit, encore en costume de naughty infirmière, en feuilletant distraitement un méga livre sur l’histoire du magazine Vogue. Alexandre Le Grand vient me rejoindre, il retire ses caleçons mauve-rose-jaune-orange et se regarde dans le miroir. Je lui dis tu es tout petit, tu n’as pas grossi, dis rien et viens te coucher darling. Il met du Indochine sur son ipod et lit quelques pages d’un manuel sur Android, avant de délaisser son manuel, de m’ouvrir les jambes, de se mettre la tête dans ma chatte et de dire tu sens bon mon foutre et ta mouille. Il dit qu’il a trop envie de me lécher, est-ce que j’en ai envie. Je dis oh oui, mais je pense à mes ongles pas secs, je pense ça va être dur de pas pouvoir caresser ses cheveux et de pas tenir super fermement sa main, quand ça devient trop, trop proche de mon Oh My God ultime.

Il me pousse au milieu du lit, mord mes cuisses, l’intérieur de mes cuisses, et il commence à lécher mon clito, doucement, je le supplie pour qu’il rentre ses doigts, il dit je vais te mettre ma bite, c’est ça que tu veux han petite bitch? Et il me tire vers lui, il me montre son gland tout rouge, il laisse tomber un peu de salive dessus, se caresse et me pénètre en grognant, parce que j’aime ça quand il grogne. Il joue avec mon clito, me tend les bras derrière la tête, je dis oh fuck le vernis, attention chéri, il me dit ta gueule, mais il plaque ses mains contre mes seins. Je sens ma mouille qui coule entre mes fesses. Alexandre Le Grand sort mes seins de mon costume, me les pince et les tire, je retiens mes cris, et il se colle contre moi, il arrête de bouger.

Il me prévient, touche pas mes couilles sinon je jouis. Je sors la langue, je lèche doucement ses lèvres, il ouvre la bouche, nous nous embrassons et il recommence à bouger, lentement, en moi. Il revient la tête dans ma chatte, il soulève mes jambes et les place sur ses épaules, il fait des ronds avec ses doigts dans ma chatte, des ronds, ou l’alphabet, je distingue pas, mais c’est ouh la la. Je sens le début de sa barbe de sept heures contre ma chatte, ça pique un peu, il va avoir le menton tout rouge, mon mec, après m’avoir léchée pendant vingt minutes. Je sais que je vais jouir, je lui dis continue, continue, et je me fouette de mes ongles peut-être pas parfaitement secs, et je me fouette d’Indochine qui joue encore sur son ipod, je veux sa langue et ses doigts, plus fort, je veux jouir longtemps, jusqu’à ce que je lui demande d’enfoncer sa bite en moi.

Il me la rentre, je hurle, je jouis en me branlant le clito, et il dit je peux essayer ton cul. Et je continue de hurler en disant ok, mais comme ça, je reste sur le dos. Il me montre sa bite pleine de ma mouille et il sourit et je dis vite vite, rentre-la. Et rien que sentir le bout de son gland, ça me fait hurler encore plus, de plaisir et de douleur. Putain chaque centimètre me fait gueuler. Il me plaque la main sur la bouche. Il dit je veux voir tes fesses, je veux voir comment je t’encule bien. Il retire sa bite, me retourne, me place tout comme il faut, à quatre pattes, la tête sur le matelas, face au miroir, et le cul bien haut. Il me branle un peu, me rentre deux-trois doigts et me remet sa bite dans le cul, il dit tu la veux au complet han, et je dis rien, je pousse des cris de petite pute, et je nous regarde dans le miroir, et je veux tout mordre, ma main, le bord du lit, les oreillers.

Les bruits de vagin, c’est excitant pour certains

mars 24, 2009

 

 

 

Alexandre Le Grand a un ami vraiment sympa. Il s’appelle Gaspard. C’est lui qui tripe masque en cuir sur le visage d’une fille. Il aime le surf, l’alpinisme et cunnilinguer son avocate à grosses boules. Il aime aussi consulter des forums débiles sur Internet, au bureau, entre deux meetings very importants, et une bière au Quartier ou dans un bar de danseuses près de Candiac city. Il a trouvé cet étonnant échange cette semaine, et j’en suis, euh, vraiment toute retournée. C’est comme incroyable, et souffrant à lire. Enjoy.

 

Sujet : Je pète par le vagin

 

Benj : C’est l’horreur je sais! C’est incontrolable. J’ai des gaz qui sortent de mon vagin et j’ai si honte d’en parler avec quelqu’un! Ça fait du bruit…je n’ai qu’à serrer un peu le ventre et ça sort! Je précise que j’ai 24 ans et je suis toujours vierge.


Merci de votre aide! J’en ai tellement besoin!

 

Martine25 : Moi aussi ça m’arrive de temps à autres… Pour ce qui est des « pets », moi aussi ça me fesait ça mais après avoir eu des relations sexuelles donc très gênant !!! Mais ce que j’ai fait c’est ma gynéco a tout simplement expliqué à mon copain pourquoi. Dans mon cas, mon utérus est un peu renversé donc la pression d’air est différente. Pour ce qui est des pertes, tu peux en parler à ta gynéco, ce peut être une infection, surtout si l’odeur est nauséabonde.

 

Katherine: He bien bonjour, moi je suis une maman et les faits de pets dont tu parles sont tout  à fait normaux ils viennent de temps en temps, on dit que quand la femme « vibre » et se donne à fond en faisant l’amour ce signe ne peut être qu’excitant. C’est mon cas, parfois cela me gene, mais parfois je ressens du plaisir quand j’entends ces bruits, ils font partie integrante de la sexualité et je te rassure tu n’es pas la seule sur la planete les hommes sont au courant de ce phénomène !!!  Alors quand tu auras passé le cap pense que c’est tout à fait normal et ne gache pas tes premiers pas vers l’amour pour des choses simples de la vie.

 

 

 Source  de cet étonnant échange : http://www.vulgaris-medical.com/forum/s822-pete-vagin.html
 

À la Repentignoise = aspirer le gland jusqu’à jouissance plus-qu’extatique

mars 24, 2009

Vernis : Revlon, Berry Delicious

 

Après avoir visité des condos, dont un datant de l’époque victorienne et ayant abrité Lionel Groulx pendant quelques mois, Alexandre Le Grand m’a concocté un repas trop yummy yummy : un gratin de courgettes au parmesan, avec amandes émondées sautées aux fines herbes, accompagné d’une sauce rosée avec champignons et jambon de pays. Miam, je m’en pinçais le clito. Je lui ai dit que c’était mon plat favori de tout les temps. Et il a dit, l’air tout furieux, je croyais que c’était ma bite.

Pour me faire pardonner, je vais le sucer à la Repentignoise bientôt-bientôt.

Accessoire super classe

mars 23, 2009

                       melodie nelson

 

C’est total inutile, je sais. Je vide toutes les bouteilles, je laisse pas quelques gouttes pour le lendemain. J’ai pas besoin de Dicky Bottle Stopper, mais, mais je trouvais ça ridiculement cute.

Les comptables et les profs de Concordia sont des amants tout doux

mars 22, 2009

Musique : Eleni Mandell, Artifical Fire

Lecture : Melissa de la Cruz, Les Vampires de Manhattan

 

J’avais mis mes bottillons rouges avec une boucle en cuir sur le côté et Marissa, ses bottes hautes Guess qui lui donnent un air de pirate en expédition à Las Vegas. Elle veut se trouver des souliers de stripper transparents chez Romance alors on déjeûne tout près, au Café République de la rue Sainte-Catherine. Je prends des french toasts couvertes de sucre à glacé, et un café au lait, et Marissa boit un jus de pamplemousse rose, parce qu’elle est au régime-extra-waif.

Je lui dis qu’Alexandre Le Grand m’a trop déchiré la chatte, il m’a baisée saoul vendredi dernier, doggy style, je mordais l’oreiller pour pas gueuler, il passait ses ongles sur mes cuisses et m’ouvrait le cul pour y passer au moins trois doigts. Dans le miroir, je le voyais fixer sa bite qui sortait et rentrait vite dans ma chatte, et il me disait salope, bouge tes seins, je les touchais un peu, et je passais ma main entre mes jambes, pour caresser ses couilles bien gonflées. Marissa dit oh fais attention, d’habitude c’est les blacks qui font éclater mes condoms extra larges et qui me la mettent trop profond trop vite qui me déchirent, et je finis ma journée en disant à tous les clients qui suivent les blacks que j’aime trop les pipes, et je les laisse jouir sur mon visage, en espérant qu’ils voudront pas ma chatte.

Marissa prend ma fourchette et mange une mini bouchée de french toasts. Je lui confie que ça me dérange pas d’avoir la chatte sensible, ça me fait juste crier plus fort quand Alexandre Le Grand me prend sans cracher sur ma chatte avant, et les voisins doivent aimer, un peu, m’entendre crier, et me voir les mains accrochées au dossier d’une chaise, pendant que mon mec me rentre sa bite dans la cuisine, devant des méga fenêtres sans stores. Marissa dit oh regarde le couple qui vient d’entrer, je me les ferais à un tarif de merde, ils sont trop chauds. Je me retourne, et je vois la fille, qui sort tout droit d’une annonce de Guess, avec un blowout à même pas midi, le weekend, et des lèvres plus glossées que celles des starlettes à une remise de prix. Et elle a des joues coupées au couteau, la salope, elle est sublime. Son mec la tient par la poche arrière de ses skinny jeans gris carbonisé.

Je demande à Marissa combien elle demande, pour se faire un couple d’habitude. Elle soupire, elle dit ça dépend si la fille fait juste regarder son mec me défoncer ou si je la lèche aussi. Elle continue ça fait un peu bizarre, les filles sont soit gênées soit trop, trop excitées, je demande toujours de prendre une douche avec la fille, pour bien lui savonner la chatte et parler de son mec et savoir un peu plus ce qu’elle, elle attend du trip à trois, genre elle veut de la porn, offrir un cadeau à son mec, ou s’imaginer des tendances bi. Elle me raconte la première fois, c’était avec des Australiens, en vacances à Montréal pour deux semaines, et ils voulaient terminer leur voyage avec une pute, c’était bon, le mec était total bourré, il avait amené des Smirnoff pour moi, mais j’y avais presque pas touché, j’avais fait boire sa femme, ouais, j’en prenais dans ma bouche et je lui donnais doucement entre les lèvres, et elle tripait à laper la vodka dans mon nombril, aussi.

Marissa s’étire au max, pour que tout le monde la regarde et remarque qu’elle fait tout gracieusement, boire son jus de pamplemousse en s’essuyant la bouche avec une serviette juste avant, parler de cul avec des grands yeux de biche candide, et montrer sa fatigue comme dans un clip de danse lascive. Elle dit je sais pas ce que je vais faire plus tard. Je dis moi je veux travailler pour Anne-Marie Losique ou avoir cinq enfants et faire l’école à la maison. Elle dit ouais je devrais peut-être percer mes condoms quand le gentil prof de Concordia vient me voir, celui qui m’amène des morceaux d’ananas en collation, c’est un amour, je voudrais qu’on m’aime comme ça toute la vie, le prof de Concordia, ou le comptable sans blonde, ce que je comprends tellement pas, il est doux, il a une belle bite, toutes les filles devraient se faire leur comptable, ils s’ennuient et ils sont super chous, je voudrais bien leur bébé.

Je lui propose de se recycler en travailleuse sociale après ses années d’escorte chérie, elle rejette mon idée en levant les yeux, nan, trop stressant, je me verrais plus comme vendeuse de cupcakes. Elle me dit qu’elle va peut-être bientôt jouer dans un film porno, un de ses clients l’a branchée sur un producteur, mais elle dit qu’elle n’est pas super prête, anyway, elle se ferait juste des filles, comme Jenna Jameson à ses débuts, et elle n’accepterait pas deux mecs dans son cul et un autre dans sa bouche, trop salissant qu’elle dit.

J’aime tout le monde et tout le monde a une petite histoire

mars 21, 2009

Misha fait du yoga avec son chéri végé et elle aime bouffer des pupusa.

Chloé fête les 30 ans de son sex-symbol blackilicious.

Sarah Lee date un Jude Law albertain (version optimisée du Jude Law british, car il ne fouille pas la chatte d’une nanny toutoune et il livre à Sarah Lee des délices culinaires à son travail) qui pose dans des revues de mariages pour millionnaires.

Marissa fait un régime de sushis et de sandwichs aux oeufs.

Alexandre Le Grand se cherche un cardigan et soigne à l’Arnica une morsure à la joue (cadeau de Paprika-Psychopathilicious).

Molly like to party et a un cousin plein de tatous de Joker sur les avant-bras.

Betty souhaite s’acheter une Harley Davidson.

Derick aime les blondes à gros seins et s’entraîner pour des marathons et sortir au Cherry. Si filles gorgeous intéressées, écrivez-moi à melodienelson@hotmail.com .

Delphine est fière d’elle parce qu’elle a gagné Expozine, mais aussi et surtout parce qu’elle sait se manucurer les ongles à la perfection depuis deux jours.

Isadora placote fièrement avec Yvon Deschamps et Judy Richards lors de lunchs sympas.

Sadek travaille jusqu’à onze heures tous les soirs et va à la cabane à sucre avec ses filles pendant le weekend, pendant que Betty se masturbe en regardant des vidéos XXX sur le net.

Kyle se demande si rendre une fille jalouse est une bonne technique pour qu’elle lui retombe dans les bras.

Lilianne date un graphiste qui a une queue tordue qui atteint direct son poing G quand elle est en doggy style et qu’elle se regarde dans le miroir.

Je me sens plate comme Ross dans Friends quand, après dix minutes de dodo en cuillère, je soulève doucement le bras d’Alexandre Le Grand qui dort contre moi et je le repousse doucement de son côté de notre lit king. Mais putain que j’aime m’endormir avec son sperme qui coule sur mes cuisses.

Nate Legris est un gentleman, au majeur bien levé, prêt à doigter des chattes.

Et le mari de LeAnn Rimes est gai. Oh well.

Vive Elle Québec et le gingembre sucré

mars 21, 2009

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Quand j’étais une étudiante paumée et mariée et sous-alimentée et nympho, j’avais des passes de déprime parfois beurk. J’écoutais Tori Amos, je tentais de me saouler en buvant des martinis aux pommes, je téléphonais ma cousine à deux heures du matin et je photographiais les traînées de mascara sur mes joues. Je trouvais mes déprimes très artistiques. Pour aller mieux, je baisais avec un professeur dans son bureau, je mangeais un toucan à la pâte d’amandes et je faisais des listes interminables de ce qui me rendait heureuse, de mes souliers ballerines Chanel vintage aux abricots séchés. Maintenant j’ai des gros seins alors je peux juste pas être malheureuse, mais j’ai quand même envie de faire une liste de ce qui me rend very happy aujourd’hui.

1. J’ai dormi jusqu’à onze heures et demi, en faisant plein de rêves cochons: Alexandre Le Grand sauve Betty et moi d’un kidnappeur de bimbos, il nous enferme dans une petite pièce vide, au plancher en marbre blanc rosé, et Betty et moi on se lèche en l’attendant, je lui ouvre les fesses pour boire sa mouille, et Alexandre Le Grand arrive et il est content que le kidnappeur de bimbos ne nous ait pas trouvé mais il n’est pas content qu’on soit là à jouir sans sa bite, alors il nous punit en nous rentrant nos soutifs dans la chatte.

2. J’ai mangé un bagel aux cretons et cornichons ce midi.

3. Je me suis arrêtée à la Confiserie Louise Décarie tantôt et j’ai trouvé du gingembre sucré (c’est bon pour la libido et la fertilité) et des fruits confis (c’est bon à garder en provision pour les beaux-parents français).

4. Le bouquet de fleurs printanières de Betty est tout beau. Paprikalicious a pas encore bouffé les fleurs.

5. Je sais qu’Alexandre Le Grand va vouloir que je lui saute dessus dès que je reviens du travail, que je lui lèche les couilles, que je le fasse bander dur-dur et que je monte sur sa bite, la chatte toute chaude et serrée.

6. Elle Québec parle de mon blogue! Et de plein d’autres blogues sur le cul aussi! J’en ai découvert deux trop intéressants, surprenants et émouvants que je ne connaissais pas du tout, propulsés par une journaliste américaine érudit de la porn:  un sur des mecs qui écrivent, anonyment, pourquoi ils se paient des putes, et l’autre, sur des filles de l’industrie du sexe, qui discutent single motherhood, premiers clients, et les raisons de leur putasserie.

http://www.ellequebec.com/societe/societe/blogues-sexe-tour-du-monde-de-la-blogosphere-erotique/a/27831/3