Archive for décembre 2008

Merry Christmas, bitches!

décembre 24, 2008

Je souhaite de Joyeuses Fëtes à tous les cochons et cochonnes qui me lisent parfois! Je vous réécris le 27 ou le 28 décembre, c’est écrit à l’encre rose dans mon agenda Aubade! D’ici là, mangez des macarons, buvez du champagne et de la mouille et du sperme, et surtout, écoutez La Guerre des Tuques et Home alone!

Peu importe si vous aimez ou non Noël, ne vous cachez pas sous les draps pour détester le monde entier le 25 décembre. Si vous êtes sous les draps, c’est pour essayer de nouveaux cadeaux bruyants, vous évanouir après une  beuverie monstre ou baiser avec votre tante!

Bisous à tous! Je vous adore!

Barack Obama est sexxxy comme du café au chocolat

décembre 22, 2008

          

Oh gosh, je veux pas être méchante, je trouve que Stephen Harper a un visage de bébé trop mignon, de pervers caché qui tient à ce que sa femme jouisse deux fois plus que lui et tout et tout, mais pour le reste, tout le monde le sait, il mange trop de gâteaux Vachon ou whatever.

Barack Obama, toutefois, wouah, qui se touche le clito en pensant à lui? Il est trop hot. Bring on le président, les souliers de sa femme et un bureau à Washington et je me cache dessous, pour me mettre aux cigares de blacks.  

Source photo thesuperficial.com

Qui veut être forever heureux en 2009?

décembre 22, 2008

 

 

Pour Noël, moi je demande jamais rien, vraiment, je veux dire je me fais baiser tous les jours, lécher à en jouir pendant trente minutes toute la fin de semaine, j’ai un mec qui m’écrit des courriels cochons pour m’avertir qu’il s’est rasé les couilles et qu’il bande en regardant des photos de moi à poils, avec les marques de son fouet sur les jambes et sur le dos et sur les fesses, et aussi, j’habite à côté d’un dépanneur qui vend des chips au bacon et qui est ouvert presque 24 heures sur 24. Quoi demander de plus? À part un chien et une poupée gonflable qui serait mon sosie, je sais pas.

Mais pour les chéris et les pétasses qui cherchent des idées de dernières minutes, sur le web il y a toutes sortes de trouvailles merveilleuses (j’adore magasiner dehors, et j’adore la neige, mais magasiner au mois de décembre, c’est très très dur, je sais bien, faut se trouver des bottes chaudes, être prêt à bousculer des matantes qui avancent trop lentement vers la caisse enregistreuse, et aussi, avoir un ipod avec des sélections musicales à faire oublier les jingles de Noël joués trop forts dans les centres d’achats).

Sur le site http://www.joytoyz.com, j’ai sélectionné juste pour vous trois cadeaux idéals : un vibro pour homme qui nécessite deux batteries AA, du lubrifiant et trois orgasmes d’affilés, une crème pour les tétons au goût de melon d’eau et un canard trop sexy, qui a un boa amovible et du vrai de vrai cristal Swarovski sur son bec. Je trouve ça génial, et j’ai aucun rabais là-dessus, je le dis parce que j’adore cette boutique et que vraiment, comme seconde carrière envisageable, je me vois bien en vendeuse festive de dildos en forme de dauphins et tout et tout.

Un mec qui fait de la musique pour des pornos, ça gagne combien?

décembre 22, 2008

                  

Cher Francishou,

J’ai besoin d’attention, tu sais, et hier j’étais tellement triste de pas avoir la tienne, surtout que j’avais mis un chandail rouge au décolleté très très plongeant. Misha y a glissé les doigts à chaque fois que je me collais contre elle, de peur de me faire attaquer par les pénis géants de ta pièce de théâtre grotesque. Et il y avait aussi Caramelle et Vanessa qui se sont frenchés à chaque fois que je me levais pour me rendre aux toilettes (très très souvent, désolée pour les comédiens).

Sache que j’ai caressé la jetée en poils de vaches sur la scène, afin de porter chance à tout le monde dans la pièce de théâtre et que j’espère que tu t’es au moins bien fait sucer dans la Mini Cooper ou tu étais emprisonné, dans les environs de Montréal-Nord, selon un de tes copains sexys en pull beige ou vert.

J’ai beaucoup ri, beaucoup trop fort, à cracher le yogourt muesli-bleuets, que j’avais mangé comme souper, partout sur ma super sacoche rose sirène. Si tu projettes de faire une autre pièce wannabe sexy, call me please, je danse très bien autour d’un poteau, je suis capable de tourner, d’écarter les jambes et d’arquer le dos comme aucun clown ne peut le faire. Mais pas de grotesque pour moi. Tu sais que je veux toujours être jolie, et m’enlaidir sous du maquillage noir et des jupes en simili cuir d’une couleur qui ne matche pas avec celle d’un top zébré, jamais, pas pour moi. Avec mon teint, c’est mieux le doré. Ou les strings avec des bonbons à croquer.

Oh et une dernière chose : dans votre programme, c’était écrit un cabaret-bouffon aux parfums de sexe, de soufre et de chants. J’ai pas senti le sexe, sauf dans ma culotte, que j’ai faite sniffer à Misha à l’entracte. Je pense que les comédiens auraient dû spermer tous ensemble sur la vieille à l’agonie. J’adore l’odeur du sexe en groupe. Et le soufre, ça sent rien chéri, moi Mélodie Nelson anti-scientifique je sais ça. Et je sais aussi totale pas rapport, que la couleur du soufre c’est jaune pâle, comme la pisse quand on a bu beaucoup beaucoup de kir et de Stella Artois (merci Lindâ du Balcon).

(Et tu diras au metteur en scène de ma part que le mot sexe écrit tout partout en gras dans le programme, c’est pas le best, le mot sodomie, c’est encore plus réjouissant.)

Bisous! Bisous! Et euh, bisous à Mélanie aussi!

Euphoriquement Mélodie Nelson

Si le sexe est wonderful, vite mariage, petits oiseaux et arc-en-ciel dans le lavabo!

décembre 20, 2008

choco: Corfias

souliers: pantouffles rouges à pompons blancs

musique: Nas, Fried chicken

 

Red Bull sugar free? Oui. Robe geisha craquante? Oui. Bas collants pas encore troués? Oui. Du rouge sur les lèvres mais pas sur les dents? Oui. Capsule d’Omega 3? Oui. Chatte rasée, jambes rasées, aisselles rasées? Oui, oui, oui. Quelques coups de fer plat dans mes cheveux golden, des amandes au miel dans un plat en forme de sapin de Noel (je suis aussi quétaine que Bridget dans Girl Next Door, ouais ouais, juré, dès que Ardène vend des bijoux en formes de flocons ou de cannes de Noël, j’y cours), une nappe sans taches de vin, deux-trois chansons de Britanny Spears, et je suis prête à accueillir comme une wannabe hôtesse parfaite (je ne m’appelle pas Lola, moi, han, wink wink à Lola) le couple de l’heure, Betty et Sadek.

Betty est époustouflante, robe extra moulante noire avec coutures rouges et souliers de vamp, empruntés à une copine. Sadek dit qu’un jour, elle s’est présenté chez lui comme ça, sans prévenir, et que depuis il la harcèle pour qu’elle remette la robe toujours, toujours. Alexandre Le Grand nous fait des cocktails, Betty échappe son martini sur ma robe de geisha, mais je m’en fouette, pour une fois que ce n’est pas moi la gaffeuse (retour sur les événements des derniers jours: j’ai fait exploser deux cannettes de coka dans le congélateur, j’ai échappé du vin sur le sofa pendant un épisode d’Entourage, j’ai échappé le séchoir sur la tête de Paprikalicious, j’ai tué quelqu’un dans l’autobus en lui balançant le talon de mes nouvelles bottes, sorties de leur boite miraculeusement, en plein visage et blablabla).

Alexandre Le Grand et Sadek disent des mauvais mots en arabe, Sadek demande comment je fais pour le supporter, et Alexandre Le Grand en rajoute en disant que Betty est définitivement trop belle pour Sadek. Nous discutons aménagement intérieur, mauvais contre-maître, conventum (Betty revient tout juste du sien, elle se souvenait de personne, mais tout le monde se souvenait d’elle), et amour possessif. Betty est déjà sortie avec un mec plus vieux qui l’attendait à la sortie des classes, pour qu’elle parle à aucun autre étudiant, à la sortie des classes littéralement, han, sur le pas de la porte, allez chérie je te reconduis chez moi, tu me suces dans l’auto et je t’aide pour tes maths 536. Moi j’ai jamais vraiment été avec un mec possessif, il paraît que j’ai un frère comme ça, c’est pas correct du tout (wink wink à Philippe, nous en parlerons au lendemain de Noel ou whatever). J’aime bien Alexandre Le Grand, il est du genre à lever ma robe dans un escalier roulant pour que le mec derrière voit mon cul, à me donner la fessée dans la rue, il me montre, mais je suis à lui, il le dit, regardez la salope, c’est ma salope à moi, mais regardez là han, pour vous branler plus tard.

Pendant que les mecs parlent d’enfants et d’endives, Betty et moi nous parlons de chiens qui lèchent leur maîtresse, d’anal et du nombre de mecs qu’on a baisé. Elle dit qu’elle aime trop le cul, qu’il faudrait qu’elle laisse l’amour de sa vie s’il ne la baisait pas assez souvent, c’est le plus important, je dis ouais tu as raison, et de belles mains, et faut un mec qui aime donner la fessée, on a trop plein de palettes en cuir, une avec une pointe de vipère, ça fait trop trop mal, ça pince, ça claque et tout, mais ça fait une éternité qu’on ne les a pas utilisées, au moins deux semaines, faut que je le rappelle à Alexandre Le Grand.

Betty me demande who’s the most wonderful lover I had dans ma vie. Je dis oh c’est Alexandre, sûr sûr, j’en ai eu deux-trois-quatre trop trop bons, mais Alexandre, c’est le plus wonderful. Je lui demande et toi, c’était qui? Et elle répond Sadek, et je le crois pas, je dis vraiment, voir que toutes les deux, on est comme ça, à parler, avec nos deux meilleurs-amants-du-monde-entier à table, c’est beau non, on est les filles les plus chanceuses right now. Et avant que Betty me propose d’échanger, juste pour un soir, je dis je suis chanceuse, il n’est qu’à moi pour toute la vie, plus aucune chatte n’aura sa bite, juste moi moi moi, et je me reverse du vin, en verse à Betty aussi et en propose à nos mecs, en leur répétant ce que Betty et moi on vient de se confier.

Alexandre Le Grand dit que je suis la meilleure pour lui aussi, et il dit à Sadek, en plus elle se rase la chatte aux deux jours, et là moi et Betty on se tourne vers Sadek et on lui demande et comment c’est pour toi? C’est quoi le nom de ta best pétasse ever? Et il veut pas répondre au début, il dit qu’il ne sait pas mais Betty s’asseoit sur ses genoux, et Sadek dit avec cette robe, je te baiserais toute la journée, je suis serré dans mes pantalons, allez Alexandre, ça dérange pas han, que je me dézippe un peu et Betty rigole, la main devant la bouche, comme une poupée polie, et embrasse Sadek.

J’étais crissement soûle quand ils sont partis, et le ventre gonflé de dix mille baklavas, mais je voulais trop quand même me retrouver par dessus Alexandre Le Grand, fuck les complexes de toutounette, et me coller, et glisser mes mains sous ses fesses pour les réchauffer, et lui dire que toujours je le voudrai dans mes trous, toujours toujours, et que je le ferai bander même quand il aura 90 ans, même quand j’aurai 70 ans, who care comment, Viagra, perruque, super lubrifiant optimal, gaine amincissante, colorant pour veines trop protubérantes, uniforme en latex…

citation de la semaine: « There were rules about sex: If the sex wasn’t good the first time, it would probably get better. If it was great the first time, it would go downhill. But mostly, if the sex was really great, the best sex you’d had in your life, it meant the two people should be together. »

Candace Bushnell, One Fifth Avenue

J’aime être jalouse, hydratée et nue

décembre 20, 2008

               

J’ai commencé la journée avec Alexandre Le Grand dans mon dos, qui demande à toucher ma chatte toute douce, il mouille ses doigts avec sa salive et les passe sur mes lèvres, les écarte, me rend trempée, je suis tellement endormie que je dis presque je veux continuer ma nuit, mais je ne peux pas, parce qu’il me met la main sur sa bite trop dure, et que j’ai tout de suite envie de l’avoir en moi, il me baise et je garde les yeux fermés, je sens ma chatte qui s’ouvre pour que sa bite aille plus loin, je sens ma mouille qui coule sur ses couilles et sur mes cuisses, je tends la main pour caresser ses couilles, il monte sur moi, m’écrase les seins, il aime jouir en sentant mes seins tout contre lui, mes yeux sont petits de sommeil, je le vois même pas, quand il jouit. Je me rendors quand il part, je ne me souviens plus s’il m’embrasse avant de me souhaiter une belle journée. Je me lève super tard, mange une poire super mûre, boit de la VitaWater, me prépare pour aller retrouver Sarah Lee, au salon de thé Camélia Sinensis.

 

Dehors, j’attends l’autobus en écoutant les Doves et Beyoncé. Je regrette trop de pas avoir mis ma tuque. Trente minutes passent genre et je suis gelée et déçue de manquer Sarah Lee, je retourne chez moi lui demander pardon, je passe l’aspirateur dans la chambre de la princesse d’Alexandre Le Grand, qui nous retrouve ce vendredi-samedi-dimanche et je retourne au lit, me crosser un peu.

 

Ce qui rachète ma journée, c’est pas mon orgasme merveilleux, mais les nouvelles revues sur les étagères du Multimag. Je suis allée au dépanneur, pour d’autres VitaWater. J’en profite pour regarder les gros titres du Star, In Touch et Allure. Et je vois Jalouse. Le cover est trop magnifique, en noir et blanc, avec une fille défoncée à quatre pattes. Et il y a le mot bombasse, style comment devenir une parfaite bombasse. J’adore le mot bombasse, c’est comme plus adorable que bombe et plus french que bimbo. Super heureuse, j’ai passé la journée à me la jouer fashion orientée, excitée de voir des petites culottes Betsey Johnson sur des mannequins quasi dénudés, à lire sous une jetée en fausse fourrure de vache, avec Paprikalicious sur les genoux.

Commando Style

décembre 17, 2008

Faut pas le faire quand on rencontre les beaux-parents la première fois. Ou quand on a une entrevue dans un endroit super plate et sérieux, genre un cabinet de notaires. Mais sinon, to go commando c’est tentant. Quand je le fais, Alexandre Le Grand pense toujours que je suis prête à baiser tout le monde, alors je porte plus souvent des g-strings qu’avant, mais sous des robes trop serrées ou dans un pyjama douillet, faut pas se gêner. Deviner les coutures de petites culottes, ce sera jamais in, pas comme les soutifs fluos ou foncés, qu’on peut laisser deviner sous un t-shirt trop pâle.

Meilleurs moments pour laisser les petites culottes bien pliées dans la commode

1.Première sortie avec un mec qu’on veut dans notre chatte all night long, pas idolâtrer toute la vie. Il faut lui dire dès le début, qu’on porte rien du tout, pour qu’il ne pense qu’à ça, à si on dit la vérité ou non, à si on a le clito qui gonfle contre la soie de notre robe. Pas question de manger pendant deux heures à un restau sans un arrêt obligatoire dans les toilettes pour baiser.

2.Si on a la chance de sortir d’une limo ou d’une auto nouveau-riche-trash, faut en profiter pour s’exhiber un peu, comme la prochaine pornstar de la décennie, ou la future mariée-slash-divorvée-sans-prenup.

3. Devant des majors pétasses d’Ukraine ou de Russie, pour communiquer dans une langue meilleure que le french ou un diamant sur l’annulaire. Montrer qu’on a un plus petit cul et un grain de beauté sur notre chatte rasée : priceless et pas question de se faire piquer son mari par internet-order whore.

4. J’adore porter des sous-vêtements, aujourd’hui c’est bottes rouges à boutons vintage et petites culottes chocolat en dentelle, coupe garçonne. Mais au lit, à moins de fantasmer scène de viol-allez je tasse ta culotte sur le côté, mieux vaut être toute nue, ou seulement porter du Chanel au creux du cou et des poignets, façon Marilyn, ou du Very Irresistible de Givenchy, façon Mélodie Nelson.

5. Après une opération de garçon à fille, faut prouver au monde entier qu’on n’a plus six pouces entre les jambes, mais bien un clito qui ne demande qu’à se faire sucer, et deux grosses lèvres, comme super écrin à grosse queue.

Une Vierge Marie trop candidement bandante

décembre 17, 2008

Lecture: James Ellroy, Clandestin

Musique: Santogold, Starstruck

 

J’ai commencé au cégep à m’acheter des Maxim et des Playboy. Et des Hustler, parce que tonton Larry Flynt est un mec super important pour moi (un chèque de 500 dollars US, reçu pendant une première session à l’université, sans travail, sans séance de magasinage depuis un siècle, c’est le bonheur). Maintenant j’achète juste si la vedette sur le cover est top sexy (Kim Kardashian, les trois chattes de Girls Next Door, Bruce Willis).

Mais le cover du Playboy mexicain risque d’être un classique, et s’il était disponible au Multimag, je l’achèterais avec le dernier Harper’s Bazaar. Sur les étagères des dépanneurs mexicains depuis le premier décembre, quelques jours seulement avant le pélérinage à Mexico au tombeau de la Vierge de Guadalupe, le Playboy montre une sexy girl à l’air innocent et très Virgin Mary, vêtue seulement d’un drap blanc qui repose sur sa tête et sur sa grosse poitrine de salope religieuse.

Pèlerinage super populaire et cover de Playboy qui s’en inspire? Cela a enragé beaucoup de puritains, assez pour que la direction de Playboy s’en excuse et donne comme explication que l’idée derrière le cover n’était pas de représenter la Vierge de Guadalupe, mais de refléter une certaine atmosphère de Renaissance. Yeah, well, moi quand je pense à la Renaissance, j’imagine Leonardo da Vinci et Rabelais qui bouffent pendant des heures en parlant de caractères d’imprimerie, pas une salope cachant ses seins bonnet DD sous un drap blanc sale.

C’est pas vrai

décembre 16, 2008

 

C’est pas vrai, je veux que vous continuez à regarder mes seins, sinon pourquoi se mettre à moitié à poils dans mon appartement durant l’après-midi, à me déplacer devant les fenêtres et à prendre des photos de moi devant le miroir? Trop mauvaise photographe, et trop fausse narcissique, je mettrai pas les photos sur le blogue, pardon les chéris, mais faut vous dire que si je pince très fort, les marques rouges sur mes seins restent longtemps et paraissent bien jouissantes sur photos.

Sexy et canadienne

décembre 15, 2008

Le nom est trop hot. Choisie pour se moquer d’une culture obsédée par la célébrité, les paparazzis qui se camouflent mieux que les soldats en Irak et le glamour à 300 dollars les deux jambes en denim, la marque Naked and Famous vend qualité d’inspiration pop-art (denim japonais, coupes cools de devant et de derrière) à zéro le coût, comparé aux marques qui s’impriment sur le cul de Jessica Simpson et Carmen Electra.

C’est super dur de me trouver des jeans. Rien me fait. Trop petit cul, cuisses trop larges, whatever. Je m’achète max une paire de jeans par année, je l’use à marcher en talons sur les bords pas faits, et de toute façon je préfère les mini jupes. Mais si je m’en achète en 2009, je craquerai peut-être pour cette marque sexy, qui fait tout au Canada, parce qu’on sait bien que les girls du Canada sont les prettiest models disponibles all around the world.  (Et qu’elles fantasment toutes sur une baise rapide dans une cabine d’essayage.)

Source photo : nakedandfamousdenim.com