Archive for avril 2009

Être trop grosse pour voir sa chatte

avril 28, 2009

Quand j’avais treize ans, j’écoutais Beverly Hills 90210 avec mon papa et mes frères et je tripais sur Brenda parce qu’elle avait les cheveux bruns et qu’elle avait un air de miss-je-sais-tout totalement aguichant, sur Kelly parce qu’elle était mince et populaire et qu’elle portait des bikinis fluos, et sur Donna parce qu’elle était vierge et que mon père espérait qu’elle soit un modèle pour moi.

 

Tori Spelling, l’actrice qui jouait de manière très inspirée les tourments de Donna, est maintenant une maman sous-alimentée qui apparaît dans divers reality shows pour marier des couples gais, magasiner des coussins qui matchent avec le poil de son chien et montrer son bonheur éternel avec son deuxième mari. Après une autobiographie qui bitchait sa maman Candy Spelling et son premier mari et l’actrice qui jouait Brenda dans Beverly Hills 90210, Tori publiait il y a une semaine un deuxième livre, Mommywood. Ce déjà best-seller a l’air super juteux, avec des confidences sur sa chatte trop poilue pendant ses grossesses.

 

« I wasn’t prepared for losing sight of my lower region. I’d say, ‘Dean, how’s it looking down there? Do I need to shave?’ But of course I couldn’t shave. So Dean had to shave me. He’d hold up a mirror and say ‘How’d I do?’ Or he’d take a picture with his Blackberry to show me. »

 

Je pense que c’est vraiment un signe de bonheur éternel, que d’avoir un mec assez chou pour raser la chatte de sa femme au ventre rond comme dix ballons de soccer. Moi, Alexandre Le Grand a trop peur de me raser le trou du cul, alors je dois me contorsionner comme une folle dans la douche pour être certaine de pas laisser de petits poils disgracieux entre mes fesses. Ne me dites pas d’aller me faire épiler: j’aurais trop peur de mouiller sur les mains de l’esthéticienne.

Cure informatique? Fini, darling!

avril 28, 2009

 

Après une semaine sans vous (désolée, je voulais inquiéter personne, je voulais juste avoir la tête totale vide), à tenter de faire les mêmes positions de yoga que Madonna, à lire de la chick lit et des livres super profonds sur la consommation et la publicité, à manger des céleris et des bananes, à baiser dix fois en vingt-quatre heures, à me concocter des tisanes amaigrissantes à la menthe, à dire à Alexandre Le Grand qu’il est trop parfait parce qu’il me baise dix fois en vingt-quatre heures et qu’il ne me boude pas quand je laisse des traces d’autobronzant Lancôme sur ses serviettes blanches, à découper la face de toutes les rouquines que je vois dans des revues, à magasiner des t-shirts super rigolos et des ballerines noires, à rêver de Paul Auster et de prises d’otages dans une chambre d’hôtel, et à boire des bloody ceasar extra vodka avec Marky Mark sur une terrasse, je vous reviens pour vrai de vrai, pas encore bronzée, toujours mouillée, avec les mêmes fantasmes de réussir à me faire sodomiser sans crier comme une folle et à jouir cinquante fois en dix secondes comme ma copine extra Pamela.

 

Love y’all! À bientôt, ici, ou sur une terrasse ensoleillée!

Poésie, crèmes brûlées et Botox

avril 19, 2009

Collation : Popeye candy sticks

Article mouillant de revue : The Naked Truth, dans Allure

Du Perrier dans sa bouche, son gland dans la mienne

J’écoute le message que Betty a laissé sur mon répondeur d’un ton super angoissé: Hello beautiful, je vais te chercher avec Isadora, mais je suis en retard, il faut que je prenne ma douche, mon locataire est là, il veut que je me déshabille devant lui, juste pour me voir nue trente secondes il dit, il voit déjà mes tétons à travers ma blouse quasi transparente, il veut me montrer son petit chat et me montrer ou toute la bouffe est cachée parce que je le nourris durant le weekend, je vais être en retard, est-ce que toi tu vas pouvoir nourrir mes chats la semaine prochaine, on s’en reparle tantôt, can’t wait to see you, I miss you, sorry to be late. Je vais voir les nouveaux potins de Perez Hilton, vérifier si Lindsay Lohan est encore vivante, et je bois rapidement une Guru light.

J’entends Alexandre gosser après la serrure, je me félicite d’avoir déjà lavé toute la vaisselle et rangé la montagne de petites culottes que je laissais traîner depuis quatre jours sur la commode et nettoyé le jus de cornichons sur le comptoir parce que le bocal de cornichons avait comme explosé dans mes mains quand j’avais essayé de l’ouvrir. Il revient tôt, il dit qu’il est fatigué, que c’est pas super de s’enfiler des Perrier pendant que d’autres boivent devant lui des blondes en fut. Je l’embrasse, je lui rappelle que je pars dans environ trente-quarante cinq minutes, tu devrais t’allonger un peu bébé et me laisser te sucer. Il me donne une petite fessée en me disant oui salope, suce-moi avant d’aller lécher Betty.

Il retire ses pantalons et un bouton tombe, il chiale, ça fait deux fois qu’il achète des pantalons chez Zara et que tout se découd en dix heures. Il reste debout, les pantalons aux chevilles et je me mets à genoux devant lui, je caresse sa bite à travers son caleçon, je le descends, je sors son gland et je passe ma langue dessus. Il retire ses pantalons, son caleçon, ses bas, et me frappe les joues et les lèvres avec sa bite. J’ouvre grand la bouche, je laisse tomber un peu de salive, et je le suce, en fouillant son petit trou du cul avec un doigt. Il jouit et retire sa bite de ma bouche, me la colle entre les seins, pour que je sente bien son sperme couler et coller sur ma peau. Il m’embrasse et il me dit je t’aime bitch. Il me laisse dans la chambre, je dois choisir comment m’habiller, je sais pas du tout, je veux montrer mes seins, mais pas autant que dans ce petit t-shirt rose transparent, je mets la minijupe en cuir que m’a donné Betty, et je teste l’effet avec un t-shirt à l’effigie d’Obama, et un tricot vert. Je garde le tricot, je demande à Alexandre Le Grand si c’est mignon. Il est occupé à recoudre ses boutons devant Loft Story et à gueuler contre tous les lofteurs. Le téléphone sonne, Betty et Isadora arrivent dans cinq minutes, je me maquille, je bourre ma sacoche fushia métallique de suçons et je souhaite à Alexandre une bonne soirée.

Je ronfle quand ma chatte est pleine de sperme

Les filles m’embrassent, je leur donne de la gomme parce que leur haleine est à chier, Betty dit qu’elle doit s’arrêter à une station d’essence, et moi je dis j’ai encore envie de pipi pardon. Isadora me parle d’un professeur de cinéma qui sort depuis trois mois avec une fille qui étudiait avec nous, une fille brillante comme tout mais qui semble toujours sortir d’un cocktail entre trailer park girls. Nous regardons les adresses, nous trouvons pas la Casa Obscura, j’appelle le 411, le mec dit que la Casa Obscura ça n’existe pas dans leur système, je dis oh fuck, et je commence à parler à Betty de Danny Plourde parce que Betty est anglo alors elle connaît pas Danny Plourde, je dis il a une super grosse queue. Isadora demande ah oui, assez pour faire mal? Je dis oui, vraiment grosse, et quand j’ai baisé avec lui, la première fois, il a fait semblant que j’étais la première fille qui lui disait ça, et le seul truc que je regrette de toutes les fois qu’on a baisé, c’est que j’ai dormi chez lui, quand j’étais un peu enrhumée, et je suis sûre que j’ai ronflé toute la nuit, la honte, je veux pas qu’il se souvienne de moi comme la pétasse totale débandante quand elle dort, c’est pas juste genre.

Nous trouvons la Casa Obscura, je présente Betty aux deux personnes que je connais, je vois le recueil Cellule Esperanza, l’illustration en couverture est superbe. Je cherche Danny, Isadora le trouve et l’embrasse, elle lui dit wouah tu as coupé tes cheveux, tu es propre, tu as changé. Il est tout beau, je me procure son recueil, et il m’écrit une super dédicace, en l’honneur de mes lèvres. Faut que je me les fasse gonfler au silicone asap pour qu’elles méritent une telle attention.

Betty et moi nous nous installons sur un gros sofa, je lui demande si elle veut une bière, elle dit non, je veux juste m’asseoir un peu, je me sens un peu alien right now. Je rigole, je lui dis que moi je me suis sentie comme ça pendant tout mon bac, j’ai juste parlé à trois personnes pendant mes dix mille années d’études universitaires, Isadora, Buko, et Danny, et j’ai longtemps pensé qu’avec un peu de vodka et un vibro pendant les pauses, l’université aurait été crissement moins angoissante. Betty déteste la fumée de cigarettes, elle a peur de sentir comme ça toute la soirée, je lui propose du parfum pamplemousse-goyave, elle dit tantôt, fuck I’ve got a major migraine qui commence. Je lui dis de se coucher sur le sofa, sa tête sur mes cuisses. J’ai envie de passer ma main sur ses seins, sa robe est tellement mini, elle demande juste trop à être caressée et retirée. Betty a une peau de poupée de porcelaine, et elle a deux-trois grains de beauté brun pâles, sur les seins, c’est super sexy. Je passe la main dans ses cheveux, je suis sûre qu’elle sent ma chatte super chaude à travers le cuir de ma jupe. Betty dit I can’t take it anymore, sorry, I’ll wait for you outside, si je vais pas dehors now, je vais être obligée de me droguer aux tylénols extra forts toute la soirée.

Je suis Betty vers la sortie, je dis à Isadora que nous devons partir rejoindre Persia chez Fino. Isadora est en conversation avec une fille qu’un de mes amis aime bien, elle a l’air toute artistique et sensible, et avec un auteur trop-intelligent-et-articulé-style-disjoncté à grosses lunettes noires. Isadora me présente en deux secondes, elle chuchote j’arrive dans cinq minutes, je tripe trop geek, je lui dis t’inquiètes pas, je vais en profiter pour frencher Betty dans une ruelle. Dehors, Betty lit mon texte inspiré de Victoria Beckham dans l’Ectropion et feuillette le recueil de Danny. Je la prends en photo devant Elvis Ameublements, les jambes blanches, le manteau rouge super court, les souliers à talons hauts en cuir vernis rouge, les lèvres pulpeuses et des cheveux dans la bouche pendant qu’elle se concentre sur les mots de Danny, je trouve qu’elle est trop parfaite, sur le coin de la rue, en presque pute intello. Je lui dis j’ai envie d’avoir les seins aussi gros que ceux de Victoria Beckham, Betty me demande c’est du combien, je dis je pense que c’est au moins du D, un gros gros D.

Baise tout en blanc size x-small

Isadora nous retrouve, elle dit pardon, j’étais juste contente de parler ave Katarina et Marc-Aurèle. Nous partons direction Fino, en passant devant la rue ou Marissa s’enfile des bites dans un trois pièces meublé à l’asiatique cheap. Angelina et Persia placotent, des drinks fruités entre les mains. Je passe ma main dans le dos de Persia, elle frissonne et rigole, toujours aussi apétissante. Nous prenons toutes de la poutine au canard en entrée, un peu trop sucrée, mais Betty dit qu’avec du sperme dedans, la sauce serait perfectly addictive. Je prends de la perchaude, Isadora du lapin et Angelina du flétan. Betty ne mange pas, elle garde le ventre quasi vide le jeudi, trop pressée de se shaker le cul sur un dancefloor. Après trois verres de vin rouge, elle accepte de nous parler d’elle et Sadek. Dimanche, au Bal en Blanc, elle a dansé douze heures, sans extasy, avec six mecs fabuleusement gais et des bottes blanches à talons hauts de cinq pouces. Elle a croisé Felicia, qui lui a dit toute sirupeuse et terrorisée, pardon pour l’autre fois, je pensais que c’était déjà fini entre Sadek et toi, suis-moi, il est venu au Bal avec moi et Colin et Anaïs.

Betty raconte que Sadek lui a présenté Anaïs, Betty avait envie de pleurer, de dire à Sadek qu’il lui manquait tellement, de lui dire danse contre moi, touche mes fesses, remarque ma petite culotte, j’en porte une, et dis-moi que je suis belle comme tous les mecs que je croise depuis des heures, ils veulent tous devenir mes meilleurs amis gais, et toi tu ne me dis rien, tu dis pas que je suis sexy en jarettelles blanches à boucles et en robe Guess x-small. À onze heures du matin, en sueurs, Betty et Sadek sont partis, pour un petit déjeûner hyper gras chez Sadek. Betty me regarde, elle dit sois pas fâchée, je voulais attendre, je voulais pas tout de suite baiser avec lui, mais il m’excite, j’étais trop horny, après deux œufs et du bacon, we fucked sur le tapis de son salon marocain, mes genoux sont encore all bruised, you see, et je me suis endormie sur lui, et j’ai pleuré, I couldn’t help it, je trouve ça trop dur, il m’a encore baisée, et il m’a dit que je lui manquais aussi, mais oh I don’t know what will happen, we’re still on a fucking break, et s’il sort avec Anaïs, c’est pas le genre de fille qui accepte d’avoir des genoux tout rouges, even for a good fuck…

Madonna se prive sans doute de crèmes brûlées, la pauvre chouette

Nous nous partageons des crèmes brûlées aux morceaux de chocolat et au café. Je glisse mon doigt dans celle au café et je le donne à Betty, qui le suce en fermant les yeux. Deux amis de Betty entrent au Fino, ils l’embrassent et celui aux dents extra blanches parle de ses dents extra blanches pendant vingt minutes.  Nous nous installons au bar, Isadora se prend un vodka-canneberges, Persia et moi nous avalons un martini lychee trop rapidement et nous demandons un gin tonic à la barmaid. Persia la remercie en baisant ses lèvres, tout doucement. Betty la traite de little brat en lui caressant les fesses. Elle m’entend parler des joues de Madonna et outrée, elle dit Madonna a aucune chirurgie, je me prends les seins entre les mains et je dis fuck elle a les seins plus hauts que les miens, à cinquante ans, après deux enfants, elle est pas surnaturelle Madonna. Angelina ajoute c’est juste normal that she has some work done on herself, she’s living in a world that just needs her to do so, tu as vu avant les Oscars, elle avait l’air fatiguée, ridée et after Botox and other treatments, she had lost like fifteen years on her face. Je dis vive le Botox, j’en veux des provisions, mais je vois Betty qui a l’air super down qu’on critique son idôle, alors je dis je t’aime Betty, tu veux touchers mes seins ?

Betty envoie un texto à un ami qui l’attend au Cavalli, elle dit qu’elle va rester au Fino, à boire de la grappa jusqu’à danser sur le bar et s’effondrer, je lui dis arrête d’être dramatique, tu boiras jamais assez pour avoir l’air de Shannon dans Footballers’ Wives. Je prends son Blackberry juste après qu’elle ait envoyé le texto et je vois une photo de Sadek. Je dis oh, elle dit tu es upset, fuck, I didn’t want you to see the picture, but I need to see him. Je montre son cellulaire aux autres filles, qui secouent la tête, empathiques. Je dis je suis un peu upset, mais c’est vrai qu’il est beau sur la photo, il a l’air reposé, tout calme, c’était après s’être vidé dans ta chatte combien de fois? Betty me tire la langue, elle dit c’est après que je l’aie sucé sous la table de la cuisine, quand il buvait son quatrième café du matin. J’appelle Alexandre Le Grand et je lui dis que j’ai trop hâte d’arriver à la maison, parce que j’ai bouffé de la crème brûlée aux morceaux de chocolat et j’ai trop envie d’un autre truc crémeux, maintenant.

Masque à la mangue, mélanome et Gisele Bundchen

avril 17, 2009

                                           pour melodie nelson 

Mercredi j’ai bu trois litres d’eau, une Red Bull et un café latte pour être bien éveillée, hydratée et pas prendre une goutte d’alcool. J’ai paressé au bain, pour exfolier ma peau, et raser mes jambes et ma chatte, parce que j’étais super honteuse d’avoir montré, en après-midi, quelques poils pubiens à Lola qui voulait vérifier si mon grain de beauté niveau pubis était un dangereux mélanome ou pas (elle ne croit pas, mais il ressemble trop à une photo de cancer de la peau dans Glamour pour pas que je prenne rendez-vous chez le dermato asap). J’ai fait semblant d’avoir un soudain cas de jaunisse, en m’appliquand un masque peeling mangues et concombres sur le visage, question de faire peur à Alexandre Le Grand (fuck, fuck, quand je suis conne, j’oublie d’être totale séduisante) et d’avoir une peau douce et toute regénérée pour le lendemain, parce que je vois Betty et Isadora et Persia, et qu’il me faut être parfaitement radieuse (j’ai toujours un cache-cernes dans ma sacoche) pour faire la potiche au lancement du dernier recueil de Danny Plourde, un poète génial à l’énorme bite souveraine, et un peu plus tard, pour aller danser et m’enfiler des gin tonic au Confessionnal.

 

Les dents recouvertes de bandes blanchissantes Crest, je me suis couchée au lit, avec le livre Et Dieu dans tout ça?, je le trouvais un peu plate, je m’endormais, mais je pouvais pas boire de coca zéro pour encore trente minutes, à cause des bandes, alors j’ai feuilleté le Vanity Fair, j’ai lu l’article sur le vol de la Mona Lisa juste avant la Première Guerre mondiale, et je me suis arrêtée aux photos de Gisele Bundchen, en souvêtements sur le balcon d’un hôtel new-yorkais, en robe soyeuse qui descend sur ses hanches, montrant bien ses omoplates parfaites et son épaule droite parfaite, et le début de son cul parfait. J’ai fermé les yeux, j’ai pris mon vibro doré sous mon oreiller, et je me suis imaginée dans la même chambre d’hôtel spacieuse que Gisele, je me touchais pendant qu’elle était sur un tapis gris perle, toute nue, avec cinq mecs qui la vénéraient, ils lui léchaient les seins tout doucement, sa peau toute bronzée brillait de salive, elle avait le dos arqué, un mec entre les jambes qui taquinait son clito, les mecs me demandaient de jouir pour Gisele, pour lui montrer que moi aussi j’aimais la regarder. Il y en a un qui a craché sur sa chatte, un autre qui la sentait partout, sous les aisselles, entre les fesses, ça faisait durcir sa bite de latino, ça m’excitait trop, je regardais Gisele, qui regardait les mecs, qui me regardait moi, sa bouche s’ouvrait comme pour gémir ou m’inciter à venir moi aussi la toucher, et j’ai joui presque silencieusement.

 

J’ai enfilé une nuisette argent qu’Alexandre Le Grand aime bien parce qu’elle a un joli col tombant qui s’ouvre sur mes seins et qu’elle montre mes nouvelles courbes de fille-qui-continue-à-manger-des-sucreries-malgré-ses-résolutions-qu’elle-écrit-et-rature-et-réécrit-dans-son-agenda. Nous avons mangé des choux-fleurs gratinés en rigolant du nouveau coach de Footballers’ Wives, un chanteur has-been. Il porte un mullet pas très seyant et sniffe de la coke sur les seins d’une pute black et paie des bandits pour massacrer un joueur de foot qu’il n’aime pas. J’ai mangé un mini morceau de l’œuf de Pâques Laura Secord que ma maman m’a donné mardi soir. Alexandre Le Grand s’est couché tôt, Paprika blottie dans son cou et moi entre ses jambes, je l’ai sucé en regardant mon cul dans le miroir.

 

Passé une heure et demie, j’ai senti les mains d’Alexandre Le Grand qui me caressait la chatte et les cuisses. Il léchait et mordillait mes épaules. Je me suis retournée, face à lui, et il m’a embrassée, sa langue toute chaude et urgente, ses mains sur mes seins, et sur ma chatte, comme s’il avait dix mains, dans un rêve. Il m’a écarté les fesses, il passait son doigt d’un trou à l’autre, et il s’est enfoncé dans ma chatte, j’avais encore les yeux fermés. Il m’a dit après que tu m’aies sucé, j’avais déjà envie de te baiser, et là je me suis réveillé et j’étais bandé dur, j’ai trop envie de toi, et je ne sais pas si j’ai répondu quelque chose, j’ai gardé sa queue en moi, de bonnes et longues minutes, je sentais ma chatte se reserrer, je serais restée comme ça jusqu’à cinq heures du matin.

L’honneur suprême

avril 16, 2009

                                                                           doodle_mel_nel_couleur 

 

The Delphine est trop parfaite : elle mesure six pieds, n’a que des ombres à paupières MAC et dessine super bien. Elle m’a affichée sur son blogue il y a quelques jours et ma mère a trouvé ça tout simplement fabulous. Moi je regarde plus souvent son dessin que ma réflexion dans le miroir (j’ai une peau parfaite grâce aux couleurs The Delphine, c’est rassurant).

http://delfberg.blogspot.com/

J’ai droit à du popcorn sans beurre et à du sperme tous les soirs

avril 14, 2009

                                           ebay

J’ai porté des oreilles de lapines Playboy tout le weekend, ma robe fleurie style série télévisée Madmen a gonflé sous l’effet du vent et a montré à quatre-cinq proches mes superbes culottes garçonnes mauves avec des petites boucles, j’ai sucé la bite d’Alexandre et c’était crémeux, et j’ai pas mangé trop de chocolat, mais, mais, j’ai gagné une enchère sur ebay.

Je vais bientôt recevoir par la poste cette oh so sexy robe de Roberto Cavalli, un designer qui tripe sur la jungle et les félins et la vodka. Maintenant, vraiment, c’est fini les cocos de Pâques et le limoncello jusqu’à deux heures du matin dans mon bain : faut que je continue mes séances d’aérobies devant des reality shows pendant des heures à tous les jours, et que je m’inscrive à des cours de danse Zumba Cardio.

Roberto Cavalli, et l’été dans deux mois, et Betty qui m’empêche de me goinfrer de burgers et qui n’a même plus un millimètre de gras sur les cuisses depuis qu’elle fait du dragonboat, ce sont les meilleures raisons pour être en top forme et mince comme à dix-sept ans (quand j’étais monitrice dans un camp pour diabétiques et que toutes les filles parlaient cheveux, et tous les gars automobiles et pot, alors moi j’étais toute seule avec les Doors dans mon walkmen et je courais six kilomètres à tous les soirs, en rêvant à de la crème glacée aux pistaches et aux professeurs que je baiserais dès mon entrée au cégep).

J’ai les ongles lilas, avec des traces de chocolat

avril 11, 2009

Samedi dernier, c’était suçons-pretzels-sushis et les plus laids cupcakes au café du monde entier, tout ça arrosé de saké-cosmo-vin blanc-vin rosé-limoncello-rhum et coca zéro, avec Misha, Isadora, Betty, Claire, Sarah Lee, The Delphine, Pamela et Lola. Alexandre Le Grand nous avait laissé l’appartement, il était allé voir le match des Canadiens à la Taverne à Normand, avec Sadek, mes frères, et les amis cools de mes frères. Complétement bourrés, ils avaient imités les cris pervers de mon mec: tout le monde à la Taverne avait eu droit à des glory holes gueulés, des dirty sanchez décrits et chantés, et des tournées de schooters de Jack Daniels. Après, Alexandre Le Grand, mon frère Philippe et Horatio s’étaient rendus aux Amazones, un bar de danseuses recommandé par Sadek. Alexandre Le Grand et Philippe avaient admiré les fesses qui se shakaient, les tatouages de triangle sur le pubis des belles, les seins dorés. Horatio, lui, était tombé en amour avec une danseuse qui a dansé pour lui pendant une heure dans un isoloir.

 

Ce samedi, c’est plus tranquille: c’est un weekend religieux, et avec la petite princesse de cinq ans avec nous, c’est pas le moment de se saouler aux drinks et de se demander entre filles quelle est the best time to fuck, ou what is your dirtiest turn-on (je vous dis pas ma réponse, j’étais crissement trop dans ma bulle de fille joyeusement attardée quand Claire m’avait posé la question). La princesse et moi devons trouver un prénom à son nouveau lapin en peluche, Alexandre Le Grand se repose de sa grippe presque fatale, et dimanche, nous irons à Franklin, bouffer comme des cochons au palais très fin, discuter vieilles voitures et Sarkozy, et courir dans la boue avec Ginette le griffon hyperactif. Son maître sera peut-être là, et même s’il ma déjà pogné le cul parce qu’il pensait que j’étais une pute et non la femme d’Alexandre Le Grand, je lui pardonne, parce qu’il nous a donné des oeufs tout frais de son poulailler, la dernière fois que nous sommes passés à Franklin, et aussi, parce qu’avec un chien comme Ginette, on peut pas être totalement une menace.

 

Je vous souhaite à tous un beau weekend, que vous fêtiez Pâques en famille ou au Bal en Blanc. Air kisses à tout le monde! Et vive Jésus!

David Beckham m’excite

avril 9, 2009

lecture: Roger Des Roches, Tout est normal, tout est terminé

 

événement de la journée: les trente-cinq ans de la fabulous Jenna Jameson

 

Je reviens du travail, les cheveux mouillés par la pluie, les lèvres glossées dans l’autobus, le recueil de poésie de Roger Des Roches contre mes seins, sous mon manteau, pour mieux le protéger que mes cheveux. Paprikalicious m’accueille en miaulant comme une fausse-dépendante-affective-mais-vraie-dépendante-à-sa-bouffe-molle. Je trouve un Vanity Fair et US Weekly sur la table de la cuisine, avec un spécial régime des pétasses en strass de Dancing With The Stars. Je feuillette rapidement, je me rappelle mentalement qu’il faut que j’abandonne asap pain, pasta, et alcool, pour plutôt faire une provision d’oeufs blancs et de tisanes qui font miraculeusement un ventre plat à quiconque les boit all day long.

 

Je vais à la chambre, et Alexandre Le Grand est là, sous les draps, à six heures le soir, comme il se refuse de le faire à moins d’être ultra-malade-en-danger-de-mort. Il grogne un peu et il me dit j’ai besoin de mon infirmière, je me sens tout dur, c’est grave. J’ouvre la garde-robe, je dis oh j’ai mis au lavage mon uniforme, il y avait ton sperme dessus et du ketchup, pardon pardon, tu veux pas Blanche-Neige à la place, ou un bunny de Playboy? Et il dit ok honey bunny, tu me réveilleras quand tu seras sexy. Il se retourne et fait semblant de ronfler.

 

Je mets ma petite robe noire en satin avec une queue de lapin blanc cousu niveau cul, un petit collet, des bracelets noirs et blancs qui tintent quand je cherche partout mon serre-tête avec des oreilles de lapin. Je marche jusqu’à mon Alexandre Le Grand, qui gémit mounmmnysfg dans son oreiller, je sors mes seins de la robe et je les lui fourre dans la face, bonjour chéri tu m’invites au lit. Il prend ma taille et me fait tomber sur lui, il m’embrasse et il dit tu goûtes bon, quelle fille tu as embrassé avant d’arriver, et je dis arrête, c’est le baume que Misha m’a donné qui goûte les cerises. Il prend mes seins, il dit je veux les sentir sur ma bite, je lui demande s’il veut que j’attache mieux mes cheveux, il dit non, non, je te vois bien comme ça salope. J’écrase sa bite entre mes seins. Je me tourne pour qu’il voit mon petit cul de lapine et qu’il me sente la chatte. Je lèche ses couilles, je descends ma langue dans son petit trou, j’appuie doucement avec un doigt, je lèche un doigt et je le rentre dans son cul en faisant des mini ronds. Je prends sa bite dans ma bouche. Il dit je sens tes petites dents salope. Je le suce et il ouvre mes fesses, me répète que j’ai un beau gros cul de salope, et il se répand dans ma bouche, j’avale, je sais pas ce que ça goûte, genre l’eau de javel sucrée au miel.

 

Je réchauffe une soupe au boursin et brocoli, et nous écoutons le premier épisode de la quatrième saison de Footballer’s Wives. Une putain de bonne série, que j’avais presque honte d’aimer tellement ça fait soap, mais depuis une conversation, l’été dernier, avec Jonas, au travail, je suis confortée dans l’idée que c’est très raisonnable de fantasmer sur David Beckham, le champagne, le botox, la bisexualité de Conrad, la garde-robe de Chardonnay Lane-Pascoe et le vestiaire des joueurs. Dans le premier épisode, fuck, fuck, trop excitant, Noah décide d’aller dans une église pour devenir hétérosexuel et le reste de l’équipe fourre des filles en Espagne, deux mecs sur la même fille, et plus tard dans la nuit, la fille se fait violer, elle se coupe les cheveux, les teint en noir et promet de venger son honneur perdu, je tripe et je monte sur Alexandre, je suis assise et j’ai sa bite dans ma chatte, tout en regardant l’écran. Je bouge pas trop, j’attends le générique, je ferme la télé, il dit je veux regarder Tania Turner pendant que je te baise, il me donne des tapes sur les fesses, me fait aller sur sa bite, je m’appuie sur ses cuisses, et je dis oh oui, oh oui, et il sort sa bite et me la rentre direct dans le cul et il jouit, et je sens son sperme qui coule de mon cul, sans que je hurle, j’ai plus de souffle.

 

Je lui prête un foulard à motifs de têtes de mort pour qu’il protège bien son cou pendant la nuit et je vais chercher Paprikalicious qui se met les fesses direct dans la face d’Alexandre Le Grand, il la repousse, je rigole, je ferme la lumière, et je dis putain, faut que j’aie m’essuyer le cul cochon.

Faire du babysitting et manger des pasta, ça sauve un couple

avril 8, 2009

breuvage: thé vert et citron

occupation du moment: empêcher Paprikalicious de bouffer ma clé USB

 

Je dors pas vraiment, après l’annonce d’Alexandre Le Grand de partir ailleurs. Il a vécu partout, en France, en Arabie Saoudite, en Californie, je le verrais bien s’établir ailleurs, bronzer sur une montagne au Pérou avec un chaman, ou méditer en Inde avec une princesse bollywoodienne. Je parle dans le vide, en pleurs, comme une coupable. Je rêve que je suis dans la salle de bain chez Vauvert, et qu’une salope super droguée jette des couteaux par dessus la porte de ma cabine, je me protège la tête, je veux pas mourir, et les seins, j’ai peur qu’elle les crève, je veux pas perdre mes seins.

 

Le lendemain, Alexandre Le Grand se lève plus tard que d’habitude, mes yeux refusent de s’ouvrir, mon corps est en manque du sien, je regarde s’il est bandé, mais il a gardé son pyjama toute la nuit, je peux pas m’asseoir sur lui et lui dire on oublie tout, on oublie Anthony et les bars le jeudi soir, on oublie ma robe rose bubble-gum Marciano toute collante et tachée de gin tonic. Il part et il me dit repose-toi. 

 

Je mange un bagel aux cretons et cornichons et il n’est même pas bon. Je monte le chauffage et je me réfugie sous les couvertures de mon lit. Je feuillette Porno Manifesto d’Ovidie, en me demandant ce que je vais faire maintenant. Je regrette d’avoir acheté dix mille robes les dernières semaines, si Alexandre Le Grand me quitte pour vrai, je vais être au super régime biscuits soda et beurre d’arachides pour six mois, pour égargner un billet d’avion direction Inde, et je vais m’arracher les cheveux, je vais devoir m’acheter des rallonges, ou une perruque, peut-être qu’Alexandre Le Grand aurait pas été fâché contre moi si j’avais pas teint mes cheveux en auburn. Je repousse le livre de la pornstar militante et intello française, pourquoi Anthony a raconté des trucs débiles à Alexandre, est-ce qu’Alexandre Le Grand a tout halluciné, est-ce qu’il a une tumeur au cerveau, je veux pas qu’il meurt. Peut-être que c’est pas les cheveux auburn, peut-être qu’Alexandre Le Grand est tanné de moi parce qu’il cuisine toujours et il ramasse toujours les oeufs que je laisse tomber sur le plancher.

 

Je laisse des messages sur le répondeur de Betty, Hi bella, can you call me when you have news about Anthony, I’m home all day, can’t work looking like that, je t’embrasse and I hope you’re okay, call me, call Anthony, I really want to know what is going on. Je me lime les ongles jusqu’à trois heures de l’aprem, Alexandre Le Grand revient, il caresse mes cheveux, me demande un baiser et me trouve un petit air de pétasse battue. Je le trouve tout doux, tout calme, tout rien-ne-s’est-produit-hier-soir-l’asile-t’attend-ma-chérie. Je lui dis que ça ne pas vraiment, il dit qu’il avait trop bu, il dit je suis ta bite, tu es ma chatte, je te crois, Anthony voulait se battre ou je sais pas.

 

Je lui dis viens au lit me dire des belles choses comme ça. Je veux être sur lui, qu’il sente ma chatte douce et mouillée que pour lui. Il se déshabille, laisse ses vêtements sur une chaise en bois, face au lit, il me montre ses caleçons à l’effigie de Mr Perfect, un dessin de livre pour enfants. Il se couche et je me blottis contre lui, il dit je suis fatigué, je dis moi aussi, on peut dormir, un peu. Il dit non, tourne-toi, et j’ouvre les jambes pour mon mec, il embrasse mes cuisses et me mord le ventre, il dit j’aime te mordre, et je dis rien, j’aime quand il me fait mal, un peu. Il se vide bien en moi, rapidement, il me dit je vais garder Calvin, tu veux venir, et j’accepte, je veux trop passer mon vendredi soir avec un bébé qui danse et qui chante et qui passe l’aspirateur en imitant sa maman.

 

Élise et Jean-Pascal boivent un verre de mousseux avec Alexandre Le Grand et moi, et ils nous montrent les petits pyjamas de Calvin, les couches et les jouets terriblement attirants qui font du bruit sans que nous les touchions. Ils nous laissent pour un souper en amoureux. Élise est toute contente de pouvoir mettre des talons hauts, elle en a des centaines, mais avec Calvin, pendant la journée, elle s’empêche de les avoir aux pieds, et elle regrette de ne pas avoir profité du souper pour porter des méga anneaux aux oreilles.

 

Avec Calvin à table qui déguste des céréales à la poignée et un Minigo à la framboise bleue, Alexandre Le Grand et moi nous nous bourrons d’un plat de pâtes, fêves et salade. Betty téléphone sur le cellulaire d’Alexandre, elle souhaite me parler, elle m’explique, elle dit Anthony a déconné parce qu’il aime bien Alexandre, il dit tout le temps la même blaque à ses amis, il est désolé, il s’excuse, et moi je dis quoi, juste une blague, mais fuck tu ne dis pas ça à un Français, encore moins à un Français que tu recontres pour genre la deuxième fois, fuck il aurait pu lui donner un coup de tête à la Zidane. Betty continue, elle dit toute la soirée il a fait des blagues, tu raconteras à Alexandre Le Grand, il a même demandé aux amis de Johnny, qu’il voyait pour la première fois, if they had all shop in the same gay shop, ils n’ont pas trouvé ça drôle non plus.

 

Je remercie Betty de l’appel et je raconte tout à Alexandre Le Grand, en lui carressant les couilles pendant que Calvin  répand des céréales toutes molles sur son téléphone rouge en plastique. Et je change mon profil Facebook pour Mélodie Nelson ne comprend pas les blagues des Italiens. Like ever.

 

 

Inceste, pantoufles bandantes et Laval

avril 8, 2009

M’engueuler pour une putain de connerie avec Alexandre Le Grand, c’est ultra chiant, c’était pas arrivé depuis genre un an, au moins, ça me donne une mauvaise peau, une peau d’angoissée chronique, et je suis pas une angoissée chronique, ark, plutôt redevenir vierge qu’être une pétasse qui se ronge les ongles jusqu’au sang et qui oublie de faire des masques capillaires une fois par semaine, ou deux.

Mais ça me permet de lire le nouveau Cosmo, d’apposer des post-its à toutes les pages qui me font presque rigoler, je vous en promets des extraits surréels demain, et de gosser dans les pages plus techniques de mon blogue, genre les fameux critères de recherches qui fait que quelques personnes tombent avec surprise ici, dans mon petit monde de chattes-qui-sentent-la-barbe-à-papa. Oh et aussi, ça me permet d’étudier des phénomènes trop intéressants comme lorsque transformée en angoissée chronique, il est possible de désouler à une vitesse assez incroyable. C’est mieux que le café.

Critères de recherche au potentiel rigolo-mystique-sexuel stupéfiant

1. Avoir zéro spermatozoïde est-ce guérissable

(Comme si tu es une fille, c’est même préférable.)

2. Sodomisée en robe de mariée

(Cute, cute, surtout si la robe est blanc perle et que le nouveau marié s’essuit la bite légèrement salopée dedans.)

3. Putes en tutu

(J’imagine comme pas les dernières pages du Mirror avec des putes non pas en nuisettes ou en tenue de latex, mais en wannabe ballerines.)

4. Femme qui mange des orteils pleins de sperme

5. Ventre qui gargouille et hémorroïdes

6. Les enfants de Bruce Willis

(Ouh la la genre que c’est le fantasme de quelqu’un ? Pas celui d’un chirurgien ?)

7. C’est ma mère qui me rase la chatte

(Moi ma mère m’a donné un rasoir quand j’avais dix ans pour que je me rase bien les aisselles avant mes cours de natation. Et je lui ai piqué, plus tard, ses bandes de cires pour l’épilation bikini. Mais that’s it.)

8. Baiser ma tante dans le donjon

9. Un entonnoir dans le cul

(À essayer, pourquoi pas, mais pour y laisser couler quoi, de la salive, du jus d’orange, du martini à la vanille ou du lubrifiant certifié bio ?)

10. Comment faire un club sandwich

11. Escorte qui avale à Laval

12. J’ai sodomisé ma belle-mère sur un pari

(La pire chose que j’ai fait sur un pari c’était genre bouffer des croquettes pour chiens et les vomir après.)

13. Mon ami adore porter mes pantoufles

(Et après, il va se tripoter la bite en regardant les madames des catalogues Sears.)

14. Vieille aux gros seins mous 60 ans

(Jamais ! J’aurai tout plein de chirurgies pour retarder le pouvoir de la gravité !)

15. Comment mettre sa propre bite dans son cul

(Je veux une photo.)