Posts Tagged ‘masturbation’

Du miel entre les jambes

octobre 14, 2015

Masturbation Pinterest

Mon vibro fonctionne bien alors je ne m’en cherche pas un autre. Fidèle à mon jouet sexuel, j’ai de bonnes valeurs, I know.

Les nouveaux jeux créés par Lelo sont toutefois intrigants. La compagnie est reconnue pour faire des vibros design, pas vulgaires du tout. Pas de pénis/dauphin pour la marque Lelo. Leurs plus récents vibros ont maintenant des odeurs : bordeaux + chocolat, rose + glycine et lavande + miel de Manuka. Les odeurs choisies ne sont pas pour cacher le goût et l’odeur d’une chatte mouillée, mais plutôt pour stimuler sexuellement et apaiser.

Lundi oui oui oui: Minnie Mouse et pénis-vagin style

septembre 29, 2015
C'est pas mon mamelon que vous voyez - sinon, OMG - mais de l'ombre.

C’est pas mon mamelon que vous voyez – sinon, OMG – mais de l’ombre.

J’ai un bouton pour la première fois ever entre mon nez et ma bouche. De loin, je réussis à me faire croire que ça ressemble au grain de beauté de Cindy Crawford.

Ce que j’aime plus que les débats politiques (mais les Canadiens, votez y’all) :

La Vierge Marie qui joue au tennis. Me déguiser en Minnie Mouse – mes enfants m’ont priée de le faire. Exposition de trains. Chansons sur la masturbation. Croiser mes voisins et des amis que je ne savais pas croyants à la messe. Pudding chocolat/avocat/beurre d’arachides. How to get away with murder (mais wassup avec l’orgie de sexe hétéro, comme si après quelques épisodes rafraîchissants de mecs qui sucent des mecs, il y avait eu des critiques négatives et là boum, trente personnes baisent pénis-vagin pénis-vagin style). Jeans déchirés direct à l’entrejambe. Apprivoiser l’alimentation vegan grâce à des végétaliens québécois.

Bonne semaine y’all ! Bisous au café latte à moitié avalé sous la douche !

Poil de chatte

septembre 23, 2015

masturbation 2

masturbation 1

Ce matin je me suis couché, pour une sieste de trente minutes, mais je n’étais pas si fatiguée, je voulais juste faire princesse et chatte, le ventre contre le matelas, les yeux fermés, je ne voulais pas dormir, je voulais rester au lit et rêver un peu.

J’ai pris mon vibro, j’ai gardé les yeux fermés, je me suis touché. J’ai imaginé que j’étais chez la gynéco, et j’étais apeurée, j’avais peur qu’elle me rentre un immense objet métallique dans la chatte, qu’elle m’ouvre trop, et qu’elle trouve un boule de poils de chat dans mon sexe.

(I know, vraiment bizarre, ça m’excitait pas les poils de chat, mais parfois je me touche et je n’ai pas de contrôle sur mes pensées. Je ne suis pas toute seule comme ça, ok.)

Pour que je sois plus détendue, ma gynéco, habillée jupe taille haute, petite ceinture scintillante et chemisier noir, m’a demandé si j’acceptais l’aide d’une assistante. Je n’ai fait que remuer la tête. La gynéco a répété la question, à l’intention d’un mec qui m’accompagnait chez la gynéco. Le mec, assis, dans un coin de la salle d’examen, a dit que bien-sûr, toute aide serait la bienvenue, il n’avait pas à choisir pour moi.

Une femme à la peau de pêche est entrée, en simple culotte noire, et elle a commencé à me lécher, pendant que la gynéco fouillait mon sexe avec ses doigts. Le mec s’est approché, il s’est mis tout contre l’assistante et a entrepris de faire un mouvement de va-et-vient, contre des fesses recouvertes de coton blanc.

La gynéco m’a finalement regardé fièrement, alors que je jouissais, m’assurant que non, je n’avais pas de boule de poils de chat cachée au fond de mon vagin.

masturbation 3

Un talisman pour toutes les nuits

août 6, 2015

selfie

Avant de me coucher, je me démaquille, je réveille mon mec endormi dehors (c’est arrivé juste une fois), je mets une couverture sur mon mec endormi dehors (c’est arrivé juste une fois), je m’enduis le visage de crème au concombre, je me demande si je dois tout de suite mettre ma bouteille de rosé à la récupération ou la déposer devant les voisins qui promènent leur chien le matin, je laisse ma bouteille de rosé sur la table, je médite vingt minutes ou je prie, je me prends en photo toute nue avec un regard suppliant ou les jambes écartées, je lis un peu, je baise, je me branle et après, je me demande ce que je devrais faire pour échapper à un maniaque entré chez moi, et je dois me branler à nouveau pour ne plus penser à un maniaque et je m’endors le vibro sous l’oreiller, comme un talisman.

Légendes urbaines sexuelles, jouets et café

juin 12, 2015

sexy café

Je bois un skinny vanilla latte, dans un verre cartonné, sur lequel est inscrit Bonny. Je regarde mes ongles et je trouve ça vraiment déplorable de ma part de ne pas avoir une lime à ongles dans mon sac vingt quatre heures sur vingt quatre.

Voici quelques recommandations de lecture pour votre weekend, mes chéris :

Des voyants meilleurs pour l’amour que le speed dating

« Après plus d’un an de célibat, avec des amies qui annonçaient de nouvelles fiançailles tous les mois et une colocataire qui venait de tomber enceinte, ma copine a suivi les conseils de sa dermatologue, prenant rendez-vous avec un voyant du centre-ville de Montréal. »

Love the Bird 2

Love the Bird

Des jouets sexuels pour des besoins bien particuliers

« Love the bird est une lampe, cachant un vibrateur. C’est un objet très esthétique, créée par Marc Dibeh, un Libanais conscient que dans plusieurs pays, les jouets sexuels sont tabous et impossibles à trouver en magasin. Il a alors inventé un objet pouvant être vendu dans des boutiques d’accessoires pour la maison, souhaitant faciliter l’accès au plaisir sexuel. Pourquoi une lampe? Pour sa grosseur, et pour son utilité-même, placée près d’un lit, pour créer une ambiance lumineuse et sexy. »

Histoires de masturbation

«Je me frotte contre mon oreiller. Je ne jouis jamais quand je suis pénétrée. Il faut que je me frotte longtemps contre mon oreiller. J’ai essayé aussi avec un pommeau de douche. J’aime bien, mais j’ai peur de noyer mon vagin. C’est pas une blague.»

Légendes urbaines sexuelles

« C’est une histoire terrible: une adolescente, poignardée par son petit copain alors qu’elle suçait un autre homme, est tombée enceinte suite à des manœuvres médicales tentant de lui sauver la vie.

Les médecins ont conclu que le sperme s’échappant du ventre, via la blessure provoquée par l’arme blanche, s’est écoulé jusqu’à un des deux ovaires de la jeune femme. La salive, ayant un pH élevé, a permis au sperme de survivre et d’aider à la création d’un garçonnet de près de sept livres à la naissance. »

Les princesses bimbos aiment les écrivains charmeurs et charmants

février 3, 2010

Hier j’ai assisté au lancement de J’invente la piscine, le dernier livre de Bertrand Laverdure, un poète et romancier qui aime caresser les cuisses des filles et offrir généreusement du vin rouge et des confidences cochonnes (sorry je suis discrète là-dessus, mais je me sens très très chanceuse de connaître la taille exacte de sa queue).

Je lui ai posé quelques questions super profondes pour que vous le connaissiez presque autant que moi :

1. MN : Si tu avais pu vendre ta virginité sur Internet, l’aurais-tu fait? Et pour combien?

BL : Mon Dieu, une virginité de gars ça vaut pas grand-chose! Mais si j’étais une fille, je crois que j’essaierais de payer au moins un an d’étude dans une grande université avec mon hymen. Ce serait sans doute trop cher…

2. MN : À quoi penses-tu quand tu te crosses?

BL : Je pense à ma blonde, quelquefois à des ex, d’autres fois à des filles que je viens de rencontrer dans un lancement. Mais en général, sérieusement, je pense souvent aux meilleures baises que j’ai eues.

3. MN : Qui préfères-tu frencher : une fille avec trop de gloss, une fille saoûle, ou une fille qui a une haleine de Cheetos?

BL : Qui a déjà frenché avec une haleine de Cheetos!? Mon Dieu, c’est vraiment contre-indiqué.

4. MN : Quel est le livre que tu as lu le plus souvent? Et pourquoi?

BL : Sans doute Les Illuminations de Rimbaud. Tout est là de la poésie d’aujourd’hui.

5. MN : Quelles sont tes habitudes d’écriture (genre est-ce que tu dois être habillé en Superman pour écrire? Ou avoir un verre de lait au chocolat à côté de toi?)?

BL : J’adore écrire tout nu ou en bobette le matin. J’ai une chaise de plastique IKEA avec une serviette de bain dessus en permanence, je peux donc me reposer le cul sans que je ressente cette désagréable sensation de fesse-chaude-plastique-froid.

Tcheckez le livre de Bertrand sur le site de la maison d’édition La Courte Échelle : http://www.courteechelle.com/jinvente-la-piscine-0

Je suce mes majeurs en mouillant comme une putain de groupie

novembre 22, 2009

Je regarde la vidéo de Carmen Electra, elle danse, les yeux charbonneux, avant de se coucher à côté d’une brunette et de sucer une grosse queue, et je regarde aussi Tila Tequila, en bustier rouge et noir, jouer à la stripper, sur la chanson I like to fuck, je me suce le majeur en fredonnant les paroles, Baby don’t take it personal, when I go and fuck these whores, let’s talk about the world fuck for a second, I make love to you, don’t get it fucked up baby you’re my queen, even though I go and put my dick in everything. Je me crosse dans mon lit, trois fois de suite, avec de nouvelles piles dans mon vibrateur, et je pense au chien de Tila Tequila, et aux seins de Tila Tequila, je voudrais de plus gros seins, je pense que je vais rappeler mon chirurgien bientôt, je veux des seins de pornstar, trop gros pour mes cent trois livres, et plein de tatouages, un diadème dans le cou, et une phrase de Josée Yvon ou de Shakespeare dans le bas du dos, comme tramp stamp.

Avant de me crosser, je me regarde dans le miroir, je retire mes bas American Apparel, mes bas rouges à bandes blanches, et je fais la moue, avec mon rose fushia MAC sur les lèvres, je tente de danser comme Amanda Blank, en première partie de Peaches, mardi dernier, je shake mon cul et je vérifie qu’il soit encore total bandant, et pas plein de cellulite, je secoue mes cheveux, comme dans une publicité de shampoing, je lèche la glace, et je vais sous mes draps, avec mon vibrateur, je ne vois plus Tila Tequila, ou Amanda Blank, j’imagine juste que vous êtes près de moi, tellement près de moi, la bite à deux centimètres de ma face, ou le clito presque sur ma langue, et je me tends, j’ai les yeux fermés, et je fredonne encore I like to fuck everyday every night, I like to fuck when it’s wrong when it’s right, I like to fuck if she’s black if she’s white, I like to fuck if it’s loose it it’s tight, je trouve que ma chatte est totale trop mouillée et rasée pour que ce soit que mes doigts qui en profitent, je me caresse, je pense à vous, vraiment, et au khôl autour de mes yeux, j’espère que vous aimez, j’espère que vous êtes capable de jouir aussi vite que moi, dans trois minutes, deux minutes, après nous pouvons recommencer, ma chatte n’est jamais assez irritée pour être ignorée, je peux être baisée plus de vingt fois par jour, no worry.

Vidéo de Tila Tequila : http://www.youtube.com/watch?v=BTzQdeqhF08

Ballerines, latte à la vanille et yogourt sur le gland

octobre 27, 2009

Dans l’ascenseur, je joue avec ma robe en lainage gris perle, je fais la moue dans le miroir, j’admire mes lèvres juteuses et foncées grâce au gloss Intense de Lancôme. Un locataire du troisième étage entre dans l’ascenseur. C’est un ancien soldat. Je le croisais plus souvent l’an dernier. J’ai toujours pensé qu’il me cruisait subtilement en me parlant de grenades et de l’argent qu’il faisait, quand il travaillait sur le plancher de la Bourse de Montréal. Il s’approche de moi, il dit it’s so nice to see you again. Trop de poils sortent de son nez. Je répète so nice, parce que je suis une pétasse polie et que je ne croyais pas qu’il allait ensuite me suivre jusqu’à l’arrêt d’autobus, et s’asseoir à côté de moi dans l’autobus, ses genoux collés aux miens. Sa main me caresse maladroitement la cuisse. J’aime bien les grosses brutes, et j’admire les soldats, mais je me suis masturbée avant de partir, en regardant une vidéo de collégiennes dans un vestiaire de high school, sous la douche, j’ai mouillé les draps, deux fois de suite, je suis vidée pour quelques heures, et j’ai pas envie d’exciter un voisin.

Je fouille dans ma sacoche et j’en retire le livre Men in bed, de Barbara Keesling, en cachant le titre pour pas amuser le mec au nez poilu. Je suis rendue au chapitre intitulé He is very aware of his semen. Mon voisin me demande si je travaille encore dans une librairie, je lui apprends que j’ai pris un mois de congé, juste pour écrire des cochonneries et faire de l’aérobie en jupe à paillettes chez moi. Je descends un arrêt plus tôt que prévu, il pose sa main en haut de ma cuisse, sur la couture de ma robe trop courte en lainage gris perle et il me souhaite une belle journée. J’appelle Misha, je lui dis que je vais arriver un peu plus tard que prévu parce qu’il faut que je marche une vingtaine de minutes jusqu’au métro.

Au Cours Mont-Royal, j’embrasse Misha. Elle suce un bonbon à la fraise, ça me donne envie de sa langue. Nous allons chez Olivia, j’essaie des ballerines avec une grosse fleur noire au bout. Nous nous regardons dans le miroir, des foulards de wannabe poète grano autour du cou, des grosses bagues en pierres semi-précieuses aux doigts et des bérets sur la tête. Je la questionne sur son petit copain Travis, elle dit qu’elle est trop heureuse qu’il soit enfin de retour de son stage à l’étranger, même si elle se fait moins souvent des biscuits aux pépites de chocolat à deux heures du matin depuis. Misha achète des boucles d’oreilles en argent, en forme de plumes d’oiseaux, et nous allons au Starbucks.

Nous commandons deux Venti Skinny Latte, et un brownie. Misha me demande si elle a un cul plus gros que celui de la vendeuse chez Olivia. Je lui commande de se lever, elle se place devant moi, son cul à la hauteur de ma face, bien serré dans ses jeans bleu clair. Je lui donne une petite fessée et je la rassure, ton cul est parfait. Elle se rassoit et prend une grosse bouchée de brownie. Son cellulaire sonne, elle murmure c’est Travis, en souriant. Je sors mon livre de Barbara Keesling, et je fais semblant de ne pas écouter sa conversation. Elle raccroche et me pique mon livre, elle lit à haute voix les chapitres, Make masturbation your friend, He wants to have sex with just about every woman who walks, Bestiality and zoophilia both have to do with sex with animals.

Je l’arrête, je dis Alexandre Le Grand a déjà été invité à assister à la lapidation d’une femme en Turquie, elle avait baisé avec un âne, fuck peut-être qu’elle habitait dans un village avec des hommes aux queues trop molles, moi je me ferais un animal si j’avais personne pour me faire jouir et plus de piles dans mon vibrateur. Misha dit toi, je suis sûre que tu mouilles quand un chien se colle à toi pour se branler contre ta jambe, pétasse. Je dis whatever. Misha continue sa lecture, elle dit ouh la la, c’est toi plus tard, quand tu vas t’acheter un bébé beagle, écoute, I also once knew a woman who lived in a high-rise with her boyfriend and a small dog. We were having lunch one day with a group of people, and someone asked her, “You know, you and your boyfriend are gone all day at work, and you live in this apartment. Doesn’t your dog get lonely all day?” And she said, “Yeah, that’s a problem, so whichever one of us gets home from work first masturbates the dog to make him feel better.”

Je regarde Misha, je soutiens que je ferai jamais ça, mais Alexandre Le Grand, peut-être, il donne déjà sa bite à lécher à Paprikalicious, avec un peu de yogourt sur le gland. Misha secoue la tête, pas surprise du tout, et elle prend une autre grosse bouchée de brownie.

Obsessions à l’eau saline

septembre 13, 2009
                                  moebius

Grâce à l’insistance, et à la patience, et au sex-appeal de Bertrand Laverdure, j’ai écrit une nouvelle style GossipGirl-à-Montréal pour le numéro spécial Masturbatorium de Moebius. L’histoire: une pétasse d’un high school privé organise un beach party pour célébrer ses seize ans et ses nouveaux seins, un cadeau de ses parents. À lire absolument, évidemment, si vous voulez vous crosser en imaginant une belle revampée à l’eau saline faire une fellation alcoolisée près d’une piscine creusée plein d’adolescents sans acné.

Vous pouvez même assister au lancement, je vous frencherai pas, mais je vais vous serrer très fort contre mes grosses boules en vous embrassant sur les joues. C’est de 18h00 à 21h00, à l’Edgar Hypertaverne, sur la rue Mont-Royal, le lundi 14 septembre. Un lundi soir, c’est total fait pour se souler avec moi.

Quand il n’est pas dans mon lit, je me masturbe dix fois par jour

août 30, 2009

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Quand Alexandre Le Grand part pour trois jours, il laisse des petits plats indiens, pour Marissa et moi, et des mots partout dans l’appartement, style « Touche-toi et pense à ma queue » sur mon vibro, et « Hahaha tu fais pipi » sur le bol de la toilette. Et il m’envoie des courriels, alors qu’il est en manque, et soûl, en train de jouer au billard, à Ottawa.

From: Alexandre Le Grand
To: Mélodie Nelson
Subject: À Ottawa il n’y a pas de bars de danseuses

Putain, je me cale une Kilkenny-Jack… Ça fait passer mon cours de sept heures dans le sous-sol trop climatisé du Marriott. Je regarde un match de soccer Italie-Pédés-Suède en picolant et en pensant a ton cul.

From : Mélodie Nelson

To : Alexandre Le Grand

Subject : Re : À Ottawa il n’y a pas de bars de danseuses

Moi j’écoute Daddy Yankee. Je viens de donner un bain à Paprikalicious. Son poil est super doux et il sent la lavande et les médicaments.

From : Mélodie Nelson

To : Alexandre Le Grand

Subject : Re : Re : À Ottawa il n’y a pas de bars de danseuses

Qu’est-ce que tu ferais à mon cul?
 
Je te laisserais bien m’enculer vendredi, peut-être.

 
Un coup dans la chatte, un coup dans le cul, et je finis à plat ventre, ta queue qui se vide au fond de mon petit cul.

From: Alexandre Le Grand
To: Mélodie Nelson
Subject: Les promesses, les promesses

Cochonne qui s’en dédit!!!

From : Mélodie Nelson

To : Alexandre Le Grand

Subject : Ça veut dire quoi cochonne qui s’en dédit ?

Paprikalicious s’étire juste à côté de moi, sur la table. Elle te miaule son amour. Fuck je me suis masturbée trois fois ce soir, et à chaque fois elle entend le bruit de mon vibro et je suis quasi certaine qu’elle pense que je ronronne et elle saute sur le lit et se couche sur mon cou, et fait plus de bruit que mon vibro en ronronnant pour vrai. J’ai réussi à jouir à toutes les fois en fermant les yeux très très fort et en m’imaginant que c’était la main d’un géant super poilu qui m’étranglait.

From: Alexandre Le Grand
To: Mélodie Nelson
Subject: Ça veut dire que tu me donnes ta chatte, jamais ton cul

Mets-y un doigt!!!

From : Mélodie Nelson

To : Alexandre Le Grand

Subject : Ma chatte est bonne et presque aussi serrée

Non, je me limite à lui souffler dans le cul, espèce de zoophile !

From: Alexandre Le Grand
To: Mélodie Nelson
Subject: Surprise : il y a de belles filles à Ottawa, et je pourrais les enculer, elles

Juste un petit doigt de rien, allez… T’es capable!

From : Mélodie Nelson

To: Alexandre Le Grand

Subject : Si tu les encules, mets un condom

Tu es au bar encore? J’écoute Big Brother. Jordan a grossi. Et Russel est super insultant, il la traite toujours de fatty bitch. Et il veut se battre avec Jeff. Jordan s’est interposée entre les deux mecs en plaquant ses deux boules contre Russel. C’était plus excitant qu’agressif. Moi je l’aime Jordan, je veux que ce soit elle qui gagne. Et je veux qu’elle porte moins de t-shirts et plus de camisoles échancrées. 

From: Alexandre Le Grand
To: Mélodie Nelson
Subject: Les filles d’Ottawa sont propres

Le junkie est super sympa, mais il comprend rien au soccer et il veut que je lui paie une autre bière.  

Jordan, elle a un visage d’ange. Je lui viendrais bien dans la face. Tu mouilles en écoutant Big Brother ?

From : Mélodie Nelson

To : Alexandre Le Grand

Subject : Je mouille juste si je pense à toi en train de gifler Jordan

Bonne nuit babe. Je me suis battue trente minutes avec le store, j’étais pas capable de le fermer. J’ai failli pleurer. Et suspendre toutes mes robes devant la fenêtre pour avoir moins de lumière.

From: Alexandre Le Grand
To: Mélodie Nelson
Subject: Tu dépends de moi pour tout biatch, même pour fermer le store

Je vais jouer au billard et après je me couche aussi, en pensant à ton petit cul plein de mon foutre chaud.