Je bois du café avec du lait à la noix de coco dedans, en admirant les peintures couleur caca de mes enfants (toutes les couleurs de l’arc-en-ciel, une fois mélangées, ça fait couleur caca, c’est beau multiplié sur dix feuilles).
Ce que j’aime plus que stresser parce que mon plancher est pas propre:
Rêver que ma chatte est en forme de coquillage et que ça fascine une de mes amies. Passer une soirée au cégep Rosemont à parler de masturbation féminine, de magazines et du contrôle que veut exercer tout le monde sur le corps de toutes les femmes du monde entier. Je suis malade en langage des signes. Mon mec qui montre ses fesses à nos amis et aux voisins de nos amis. Petits pyjamas de Noël pour mes choux offerts par mes parents. Copine extra qui m’appelle, je lui réponds bête, mais elle m’aime pareil, la luciole. Bunnies de Playboy maintenant. Avoir des neveux qui n’aiment pas le sucre et qui me donnent leurs bonbons d’Halloween.
Et un extrait d’un finaliste au Bad sex awards (un concours qui remet un prix à l’auteur d’une scène olé-olé vraiment ratée):
“Her hair was piled high, but when she shook her head it came cascading down in a glowing wave over her shoulders, and fell as far as her knees. This rippling curtain did not cover her breasts which thrust their way through it like living creatures.” Wilbur Smith, Desert God
Pseudo traduction: “Son rideau de cheveux ne couvrait pas ses seins, qui ressortaient comme deux créatures vivantes.”
Des seins comme créatures vivantes? Never.
Bonne semaine y’all! Bisous au café brûlant!