Si j’étais à New-York, sans les enfants, j’irais certainement voir l’expo sur l’oeuvre de Jeff Koons au Whitney (et je me saoulerais pour oublier des séances de shopping dispendieuses).
Jeff Koons, populaire et controversé parce que ses oeuvres se vendent super chères et ne représentent pas nécessairement quoi que ce soit pour tout le monde. Il s’intéresse aux objets du quotidien et au sexe, à la culture pop et à la surconsommation. Quand il a commencé à exposer, dans les années 80, son style s’est révélé: un amalgame d’art conceptuel, de readymade, de pop art.
J’ai trouvé amusantes les réflexions de Marina Galperina: “The series of inflatables, rendered from found objects that the yet-to-make-it Koons piled into his apartment like a hoarder, are manufactured in the most perfect way possible. To actually be confronted with a room of them, made me hold the worn-out complaints of how there isn’t really much meaning beyond the pure push to legitimize appropriation art as a concept. I walked away a little guilty, like I just had an intimate encounter with someone I can’t relate to in any way, someone with happy painted eyes and a beautiful body that I spent more time looking at than doing things to.”