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Gang bang avec vergetures et autres

février 28, 2015

group sex

Parfois je me souviens qu’il est possible de regarder les termes de recherche qui font que des lecteurs tombent par surprise, surprise ici.

Mes préférés ce mois-ci:

1.Questionnaire pour savoir si femme prête à un trip à trois

(Je pense que ça n’existe pas, sorry.)

2.Je bouffe la chatte de la babysitter et elle me bouffe les couilles

3.J’ai la quéquette qui bande qui la veut dans la chatte

(Je trouve que ça ressemblait à un début de chanson grivoise.)

4.Je bande comme un âne qui veut ma queue dans la chatte

âne

5. Housewife gang bang vergetures

(Je pensais pas qu’un jour mes vergetures auraient la possibilité de devenir excitantes. Yeah.)

6. La queue de mon copain a glissé et entré dans mon cul

(Ton copain t’a peut-être juste menti. Ça glisse pas si facilement, une queue.)

7.Femme aimant être en laisse comme une chienne

(Moi! Mais je ne propose ni photo, ni laisse, ni petite promenade dans la ville.)

8. Mademoiselle savonne sa chatte poilue

(Vraiment cute, d’utiliser le mot mademoiselle pour un truc de cul. J’aime.)

9. Que puis-je enfoncer dans mon cul

(Pas un pot de mayonnaise ou une gerboise en tout cas.)

mayonnaise

10.Je suis gentille ne me quitte pas Facebook

Pas de gang bang et de résurrection

avril 5, 2010

Chers lecteurs adorés,

Je suis pas comme Jésus, je souhaite pas une résurrection miraculeuse, je me couperai pas les veines avec un couteau design en souhaitant me réveiller en princesse norvégienne. Je ne ferai rien pour vous perdre, mes chous, je vous jure, je suis juste un peu fatiguée, il s’est passé beaucoup de choses dans ma vie en très peu de temps, et malheureusement ça n’impliquait pas un gang bang.

J’ai assisté samedi à la partie de hockey Buffalo VS Montréal, avec mon papa qui m’a pardonnée d’avoir cru pendant vingt minutes que c’était Boston VS Montréal, et j’ai adoré mangé une pointe de pizza et un hot dog avec too much moutarde, carresser les statues de joueurs importants comme si j’étais fétichiste de rondelles et de batons de hockey, regarder la mascotte Youppie danser, comparer les blanchiments de dents des filles assises près de nous, écouter les cris de tout le monde, dès que les Canadiens de Montréal marquaient, et me demander si tous ces cris de victoire ressemblaient à ceux que les gens poussent parfois, mais moins forts, dans des chambres à coucher, ou à quatre pattes, dans la cuisine, les jeans aux chevilles, les seins qui ballottent, la peau rouge, et les yeux brillants, de joie ou de peur ou de réussite ou de défaite.

Maintenant, je passe du temps au chalet familial, dans les Laurentides, je me considère hyper chanceuse de pouvoir partir comme ça et de profiter de la gentillesse de mes parents (je leur ai juré que je ferais le ménage et que j’arroserais les plantes et que je ferais cinq kilomètres de jogging tous les jours et que je ne me payerais pas des films pornos sur des chaines de télévision payantes). Je prends le temps de réfléchir, de me laver les cheveux aux deux jours (Gosh !), de prier, de tenter de trouver qu’est-ce qui me permet d’être moi et de me sentir bien à part le cul et les cupcakes et les filles aux dents trop blanchies.

Love y’all. À demain.  

(Les Canadiens de Montréal ont gagné 3-0 samedi parce que j’avais prié avant la game, vraiment. Je suis total un porte-bonheur même quand je me lave les cheveux aux deux jours et que mon vernis rouge femme fatale s’écaille.)