conte total fictif à vous en branler le sapin
Bootylicious slutty babes
J’arrive au Club Bootylicious avec mon sac Coach, j’embrasse Morgane et Tiffany, elles fument des topes au menthol, en se demandant laquelle va sucer en premier le portier. Je les traite de pétasse et Tiffany me répond : « Who cares? Un de mes clients réguliers, tu sais, Matthew, le mec qui porte toujours des chemises vraiment trop serrées et qui demande à avoir mon cul dans sa face, sur la même putain de chanson, Boom Boom Pow, je vais en crever un jour, anyway, Matthew, il m’a donné un mini manteau d’hiver Chanel pour mon chihuahua à poils longs, je l’adore. » Morgane me prévient qu’elle a hâte de m’ouvrir la chatte plus tard, pour y glisser un canne de Noël.
Dans le vestiaire, aux murs peints en rose tendre comme ceux d’une chambre de fillette, je retire mes jeans et mon hoody American Apparel, je demande à January, une danseuse black qui porte des verres de contact mauve, de m’aider à attacher mon corset en velours bleu royal, qui s’arrête juste sous mes seins. Je me colle des pasties en forme d’étoiles sur les mamelons, et j’enfile une petite culotte argentée : « Tu me trouves comment en fée des étoiles? » January rigole : « Fuck you, moi j’ai des pasties en forme de cadeaux de Noël. »
Catherine Pogonat, Santa Baby et dildo en crystal
Je salue le deejay, un mec qui allait au même collège privé que moi quand j’avais quatorze ans et des seins plus petits que ceux de Catherine Pogonat. Il fait jouer Santa Baby, et je vais sur la scène, avec une branche de gui, rejoindre une nouvelle danseuse, déguisée en lutin. Elle se frotte contre la pole, elle n’est pas capable de la monter, et elle ne veut pas essayer, elle dit que c’est pas excitant d’avoir tout plein d’ecchymoses sur les jambes après. Je lui montre la branche de gui, des mecs gueulent leur approbation, avant de renverser de la bière sur le stage. La pétasse me tend ses lèvres en faisant un clin d’œil aux clients, et je sors la langue, elle sort sa langue aussi, et je joue avec son piercing. Elle plaque ses mains sur mes pasties, et nous nous frenchons, elle me donne une petite tape sur les fesses, ça claque. Je me retourne et je lui offre mon cul, elle se baisse, les jambes écartées et pousse ma petite culotte sur le côté. Elle me rentre un doigt dans la chatte, et le suce après, en gémissant comme si je goûtais aussi bon que des macarons à la fleur de sel. Je me sens toute chaude, et mouillée en crisse, j’ai encore envie qu’elle me rentre un doigt devant la trentaine de clients bandés.
Elle passe sa langue, doucement sur mes fesses, et me retire ma petite culotte. Elle la sent et la place sous sa jarretière, en compagnie de plein de billets de dix et vingt dollars. Je tourne autour d’elle en dansant comme une cochonne en manque. Elle fait monter un mec sur le stage, elle lui met une tuque de Père-Noël, et nous nous assoyons sur ses genoux. Je lui mordille une oreille et je chuchote : « Moi pour Noël je veux la paix dans le monde et un dildo en crystal. » La danseuse pousse sa tête dans ses grosses boules, et le mec vient dans ses pantalons, il me souhaite de belles fêtes, en me demandant s’il sent le sperme. Je lui dis que non : « Mais tu me sens le parfum cheap de l’autre pétasse. Prend une douche avant d’aller te coucher à côté de ta femme, mon chou. »
Fellation et Colonel Hans Lada
Je circule dans le club, les clients m’arrêtent pour toucher mes pasties, et pour me proposer des drinks sucrés. Je m’arrête à la table d’un mec qui ressemble au Colonel Hans Lada du film Inglourious Basterds. Je lui demande s’il veut une danse. Il me suit dans un isoloir : « Ma tradition préférée du temps des Fêtes est de me faire sucer par des filles toutes nues et aussi jolies que toi. » Je lui dis que je ne suce pas, il répond qu’il a un cadeau pour moi. Il baisse ses pantalons et me montre sa queue toute grosse et bandée. Je rigole. Il me remet deux cent dollars : « Tu es certaine que tu veux pas me sucer, ma pouliche? » Je me mets à genoux, je secoue mes cheveux comme dans une pub de shampoing, et je lèche ses couilles. Il prend sa bite et me commande de me la rentrer tout au fond de la gorge. Il m’excite, je lui monterais bien dessus s’il me donnait un autre cent dollars et un condom à saveur de dinde aux atocas fourrée aux marrons. Il jouit super rapidement, je m’étouffe avec son kilo de sperme, et il me demande de lui faire goûter. Je crache dans sa bouche, et il me remercie.
Jingle balls, fausse barbe et coca zéro en fut
Je croise le gérant du club Bootylicious, il me propose de baiser avec lui et son meilleur ami, je refuse, et il se dirige vers Tiffany. Elle l’embrasse sur la bouche : « Keep those jingle balls in your pants, boss. Ou partage avec moi une bouteille de champagne. » Un client me dit que je le faisais plus bander quand j’avais les cheveux noirs jusqu’au cul. Je lui paie un shooter de tequila pour qu’il oublie et je lui dis que ma chatte est toujours aussi douce. Un mec à la fausse longue barbe blanche me fait signe de venir le voir. Il me demande si j’ai été sage cette année. Je m’assois sur lui : « Tu aimes les filles sages ou tu aimes les petites salopes? » Il me touche avec ses mains toutes froides et rêches : « J’aime les petites salopes au cul rond comme une pomme. » Une serveuse lui dit que j’adore les rhum et coca zéro, il m’en offre un et je rattrape Anika, près du bar : « Donne-moi juste du coca zéro sweety, je veux pas avaler dix Advil avant de m’endormir à quatre heures du matin. »
Deux jumelles sont sur le stage, elles se caressent les boules sur une chanson de Lady Gaga et se mordent la nuque comme si elles étaient devant des groupies pervers de Twilight. Mon client boit un verre de Bayleys avec deux glaçons dedans, il me caresse le dos : « Tu sais que je suis le vrai Père-Noël? » Je tire sa fausse barbe et je l’embrasse sur la bouche : « Oh pauvre chou, le vrai Père-Noël, il se repose chez lui, au Pôle Nord, il nourrit les rennes et il écoute Oprah Winfrey avant de demander à Mère-Noël de lui réchauffer une tasse de café au lait avec 3% de gras. » Je termine mon verre de coca zéro et je lui propose de rester avec lui pour une autre danse, mais il secoue la tête : « Tu crois pas au Père-Noël, salope. »
Épilation à la brésilienne et orgasme surprise
Je m’avance vers un mec super sexy, il a les cheveux légèrement dépeignés, l’air détendu et une chemise grise et blanche qui matcherait total bien avec mes petites culottes, mais Tiffany est plus rapide que moi et elle met une jambe sur l’épaule du mec, pour lui montrer le talent de l’esthéticienne qui l’épile à la brésilienne. Je retourne au vestiaire, je mets mon hoody American Apparel, mon manteau et mes bottes, et je vais dehors, dans la ruelle, juste à côté du Club, pour téléphoner ma meilleure copine et fumer une clope.
Je regarde le ciel trente secondes, en me rappelant que je ne sais pas encore quoi acheter comme cadeaux à ma maman et à mon papa, et le putain de client au dédoublement de personnalité ou whatever me plaque contre le mur de briques. Je lui jette ma clope dessus, il me gifle une fois, deux fois, je suis trop surprise pour hurler. Il me confie : « Ma bite est aussi longue que ma barbe, ma pouliche. Si tu la veux pas, tu me le dis, je vais pas te violer, je veux juste te prouver que je suis le vrai Père-Noël et te donner un meilleur orgasme que les cent mecs qui te sont passés dessus. » J’ai froid, un peu, mais je m’en fouette, il m’excite le mec, je n’ai pas baisé depuis une semaine, j’ai le clito qui brûle presque à force d’avoir utilisé mon vibrateur.
Il me soulève, j’ai les jambes autour de sa taille, et il enfonce sa queue dans ma chatte, je sens que je me resserre autour de son sexe, il me regarde, avec insistance, il sourit, et il se retire, la queue toute blanche de ma mouille, avant de me pénétrer le cul, millimètre par millimètre. Je sers les dents, je tente de respirer comme je le fais dans mes cours de pilates. Il dit : « J’en avais marre du cul sale de Mère-Noël, j’espère que le tien est propre sinon je te fais bouffer ta merde. » Je lui jure qu’il est tout propre et je ferme les yeux, je ne sais pas si je pourrai retourner travailler après, je vais sentir le foutre, et la sueur, et j’ai froid, j’ai froid, mais je vais jouir bientôt, après trois ou quatre coups de sa bite, encore, dans mon cul. Il décolle mes pasties en forme d’étoiles, il me mord les tétons, et je me retiens contre lui, je crie, ma mouille sur mes cuisses et son sperme qui coule déjà de mon petit cul de stripper. Je tremble en le remerciant, et il s’en va, avec sa fausse barbe blanche d’illuminé, et sa grosse queue encore dure, dans ses jeans de designer italien.