Quand Mini Fée s’endort dans mes bras, je peux rien faire sauf me dire à quel point son nez est parfaitement retroussé, lire Charlotte before Christ d’Alexandre Soublière et chiller en regardant sur Internet des images de licornes ou d’artistes que je ne connais pas.
C’est comme ça que j’ai fait la découverte de Terry Rodgers, un artiste multidisciplinaire qui peint des femmes en robe de chambre, des enfants prêts à passer l’Halloween et des adultes qui donnent envie de se trouver un canapé too much dispendieux pour y boire de l’alcool too much dispendieux. Son travail tend à montrer la confusion et la tension qui se manifestent nécessairement dans une société de plaisirs, ou plutôt, dans une vision imaginaire et disproportionnée de ce que peut représenter une société de plaisirs, de fatigue planante et de vulnérabilité cachée dans de la soie.
1. The language of our eyes
2. Nocturnal Incandenscence
3. Reinventing Paradise
Source peintures: http://www.terryrodgers.com/
Étiquettes : Alexandre Soublière, Terry Rodgers
février 23, 2012 à 12:55 |
Pas sur d’aimer battre Terry Rodgers! Je l’afficherais pas dans mon salon, mais tous les goûts sont dans la nature 😉
février 23, 2012 à 1:34 |
je trouve ca beau, sensuel , artistique, érotique . ca évoque la liberté sexuelle, une ouverture d esprit et le gout de se fondre au tableau et vivre une expérience nouvelle
février 25, 2012 à 3:43 |
Je trouve, moi, que c’est une belle critique de notre société de « plaisirs ». Ces images correspondent à mon idée d’un monde apocalyptique!
février 28, 2012 à 9:55 |
Il me semble avoir découvert ce Terry Rodgers par le biais d’une bloggeuse française….Comme Silvermar6, pas fan de son oeuvre…mais comme vous avez ce point commun, je te conseille la lecture du blog suivant : duelosoleil.wordpress.com
Ce n’est pas dans mes habitudes de faire de la pub, mais je pense que ça pourrait te plaire…