Du 8 février au 8 mars, j’ai envie de vous présenter des femmes que j’aime. Chaque jour, pendant un mois, une femme. Un mois en attente de la Journée internationale de la femme, que cette journée signifie quelque chose pour vous ou non. Ces femmes, je les aime. Elles sont importantes parce qu’elles ont un prix Nobel ou parce qu’elles sont les premières avec qui j’ai joué à Alerte à Malibu dans ma piscine.
Elle habitait à l’étage au-dessus de mes beaux-parents. Les deux croient que son mari est innocent, parce qu’il était un juge, avant de se retrouver en prison, et que les autres juges étaient supposément jaloux de lui depuis des années.
« Ce qui est le plus triste dans toute cette histoire, c’est que je n’ai plus de taxi. Il me reconduisait souvent à l’aéroport, pour faire des courses. Il était très gentil. »
Ce qui est le plus triste, quand Nicole a été assassinée, c’est que mon beau-père n’a plus de taxi.
Quand une femme meurt, ou disparait, son visage se retrouve parfois sur des affiches à Maniwaki, ou enterré sous la terre de Juarez, quand une femme meurt, il a toujours des coupables, mais ils ne sont parfois jamais dénoncés, quand une femme meurt, ce qui est le plus triste ce n’est pas ça, ce n’est pas ça.
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