Je vous invite à lire ma dernière chronique Canoë, qui vous apprendra que la pornographie n’est pas aussi dangereuse que certaines personnes le croient. Si, si, vous ne vous transformerez pas en monstre pervers, salivant, bandant, mouillant tout sur votre passage dès que vous apercevrez à l’écran une paire de tétons ou des couilles bien trimées.
D’autres chroniques récentes portent sur les sujets suivants : ce qui pousse les femmes à quitter leur mec, ce qu’il ne faut absolument pas faire lors d’une première relation sexuelle avec une nouvelle fréquentation, les habitudes faussement néfastes pour les couples (genre faire pipi devant l’autre) et ce que les femmes aiment presque honteusement.
Love y’all! Bisous!
Étiquettes : pornographie, première relation sexuelle, rupture
novembre 28, 2012 à 8:26 |
Alors moi ne crois pas que la pornographie devrait être le propre de l’homme, il en existe pour tous les goûts et les types que ce soit transsexuelle, gay ou lesbienne alors pourquoi pas pour les femmes?! Généralement, je crois que les hommes pensent que les femmes préfèrent les scènes de sexes toute romantique avec des fleurs et des bougies… mais non! C’est propre à chaque femme et à leurs goûts et je m’inclus dans la partie qui préfère ça un peu plus sauvage haha ! Je crois qu’en discriminant les femmes qui aiment regarder la pornographie et en portant un jugement ça l’empêche certains couples d’être assez à l’aise l’un envers l’autre pour regarder une vidée pornographique à deux, ce qui peut être bien amusant! La femme va se sentir gêné, l’homme va porter un jugement en pensant qu’elle n’en regarde pas et POUF, une activité érotique de moins à faire à deux. Pourquoi une femme qui regarde de la porno serait mal vue? Pourquoi elle serait plus mal vue qu’un homme fière de regarder des scènes de meurtres ultra-sanglante? C’est assez injuste cette vision qu’on certains hommes et même certaines femmes vis-à-vis de celles qui aiment regarder de la pornographie de temps à autre! Bref, on devrait tous être libre de faire ce qu’on veut dans notre chez soit, ou encore à l’ordinateur 😉 !
novembre 28, 2012 à 8:38 |
Je suis totalement d’accord avec toi Stéphanie. Mon article est publié dans la section Hommes de Canoé, c’est pour ça que les femmes sont moins ciblées dans mon article.
Vive James Deen et sa sauvagerie érotique! Et les scénarios de mec qui perturbe une séance d’études en rentrant dans une maison, prêt à tout voler, mais qui finit par ne rien voler sauf la virginité de jeunes universitaires mignonnes. Genre.
novembre 29, 2012 à 12:05 |
Wow! tes articles sont toujours aussi délicieux à lire et à relire!! Continue 😉
novembre 29, 2012 à 7:12 |
Mme Nelson,
Je vois que comme votre prestigieux journal a mis les bouchées doubles pour redorer le blason de l’industrie de la pornographie, qui a sûrement dû mettre la main à la poche (de vertigineuses poches puisque cette industrie fait 50 milliard de chiffre d’affaire, le P.I.B. d’un pays comme l’Equateur) pour mettre à son service quelques plumes journalistiques.
La stratégie de déculpabilisation des femmes par rapport à la consommation de films pornographiques est tout à fait scandaleuse, du fait qu’elle s’inscrit dans une tentative d’élargissement de la clientèle de cette industrie, qui jusque-là a été principalement masculine. Ainsi ce qui est outrageant dans votre article, c’est de faire passer une stratégie marketing pour du journalisme objectif.
Pour ce qui est de la consommation pornographie en tant que telle, il me semble que sa démocratisation refléterait plutôt le dépérissement de la libido d’une société gavée de sexe: Ainsi pour ranimer la flamme libidinale, on soufflerait avec acharnement sur des braises carbonisées de notre désir. Quant aux vertus de fertilisant d’imagination que vous lui prêtez, il me semble que vous confondez, d’une part, la répétition servile des scènes pornographiques visionnées, et d’autre part, ‘l’invention’ de nouvelles positions –une invention qui ne peut s’accomplir que suite à un acte de transgression d’une pudeur partagée par le couple –hélas, la pudeur n’ayant plus sa place dans notre société, il n’y a plus rien à transgresser!
C’est donc sans grande surprise que j’ai lu la conclusion votre article: la porno est acceptable, et j’en arrive même à me poser une autre question: est-ce acceptable ou déviant que des personnes comme vous puissent partager leur opinion avec le public… Avant de me prononcer la-dessus je prendrai exemple sur votre sagesse et j’attendrai les résultats concluant d’une étude scientifique.
Cordialement.
novembre 29, 2012 à 2:12 |
HAHAHAHAHA vous ne regardez pas assez de films pornos pour vous prononcer sur la « répétition servile » des scènes. Il y a aujourd’hui tellement de diversité – autant de corps, de scénarios que de fantaisies – exprimé dans les films pornographiques.
Et HAHAHAHAHA l’industrie porno a d’autres chattes à fouetter que l’industrie journalistique. Parfois, elle trouve bien embêtant cette industrie, qui est bien plus souvent contre elle que pour elle, et qui ne comprend pas bien tous les enjeux de l’industrie du travail du sexe en général.
Sous le couvert d’une politesse bien étudiée, vous êtes fort irrespectueux et mal renseigné. Je vous invite à faire autre chose de votre temps que d’imaginer des gros complots et scandales. Il y a pire, dans la vie, que des corps nus consentants…
Très très cordialement…
novembre 29, 2012 à 8:55 |
Mme Nelson,
Premièrement, je vous prie d’excuser mon ton maladroit si celui-ci vous a semblé irrespectueux. Mon intention était tout à fait autre. Je vous exhorte donc de comprendre la finalité de mon texte comme une attaque à votre pensée et non à votre personne (deux entités que je dissocie complètement). Oui, une critique de cette pensée qui suinte sur notre quotidien et nous baigne dans un semblant d’atmosphère hédoniste d’une vie heureuse et insouciante alors que les problèmes psychologiques de nos contemporains n’ont jamais été aussi désespérants ( à en juger du nombre de dépressions et l’ampleur de la consommation d’antidépresseurs –tout cela principalement dû au malaise d’adaptation des Hommes au système technicien — mais c’est déjà un autre sujet).
Deuxièmement, n’allez pas croire que j’aie une grille de lecture complotiste des évènements. Bien sûr, lorsque j’ai fait allusion à l’industrie pornographique mettant la main à la poche pour s’octroyer vos services, je suis conscient du fait qu’il faille apporter toutes les nuances du monde à cette affirmation. Bien sûr les choses sont plus compliquées et les connivences entre industries plus subtiles. Néanmoins, gardons en tête que lorsqu’on est payé pour écrire, l’argent dois forcément avoir des retombées économiques tangibles profitant au fournisseur de liquidités –à moins que vous soyez des évangélistes de l’époque hyper-moderne –ce qui n’est pas à exclure, je dois en convenir.
Pour conclure, et répondre à votre premier paragraphe, je n’ai d’autre chose à dire que l’imagination n’est éveillée que sous la contrainte morale. L’imagination est une échappatoire -et jusqu’à preuve du contraire, on n’échappe que des cloisonnements .
Cordialement.
décembre 6, 2012 à 12:03
Zzzzzzzz….
Non sans blague retourne lire Jean-Sol Partre et laisse aux obsédés libidineux leur porno
novembre 30, 2012 à 2:41 |
Bonsoir Mlle Nelson, après avoir lu votre chronique sur la porno : »Acceptable ou deviante, la porno? », je suis venu a vouloir »partagé » une expérience de ma vie. J’ai 25ans et l’été dernier (juillet 2012), je me suis gâté pour ma fête : j’ai décidé de payé ma première une danseuse nue. durant la soirée elle m’a demandé si j’aimerais passé la nuit avec elle. j’ai accepté, je ne me cache pas de la chose et je n’ai pas honte de le dire. Ça reste une de plus belles expériences de ma vie.
mais bon pour en revenir a votre article, Daphne (non-fictif de la danseuse en question) a été surprise que je sache comment la caressé, comment l’embrassé et que je n’ai pas peur de la pénétration. je lui ai fait part de ‘,mon gout » pour la porno et elle à sourit et rit.
Alors pour moi la porno et un excellent apprentissage pour les hommes ou femmes gènés ou coincés comme moi avec les personnes de sexe différent… Un très bon moyen de passé son malaise et d’ouvrir les yeux sur un monde particulier et erotisant de la porno…
sincèrment,
Simon
décembre 1, 2012 à 11:19 |
De grâce, il faut cesser avec cette connerie de « dépendance sexuelle », dont les putains d’origines trouvent racines dans la putain de droite américaine des années 1970. Je connais des filles qui ne pensent qu’à ça, qui ne vivent que pour ça, et vingt ans de thérapie de groupe (Un jour à la fois, ô mon…) ou d’exclusion dans une grotte en Sibérie ne les dénatureront jamais. Ces filles (oui, elles sont aussi mamans) sont des êtres extraordinaires qui, à force de se faire traiter de malades, peuvent finir par le devenir, paradoxalement. La seule déviance en matière de sexe, c’est le mépris des autres, de leurs libidos et de leurs passions. Tant qu’aucun mal n’est fait, merde ! Enfin, longue vie à toi et à ta famille.
http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2008/12/nymphomane-myth.html
http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2011/01/petite-histoire-des-nymphos.html