French Kiss et plus, si canicule

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Musique : Eminem, Bagpipes From Baghdad

Breuvage : Eau gazéifiée aux pamplemousses

Vous vous en fouettez de ma virginité, je vous ai déjà raconté comment ma cherry a été poppée, mais aujourd’hui j’ai vécu une nouvelle première fois : ma première fois dans les toilettes d’un Second Cup. Pas glam, mais le soleil tapait trop fort pour que j’écarte mes jambes dans un parc et je voulais pas abandonner mon vanilla latte glacé dans une poubelle pour rentrer asap à l’appartement.

Alexandre Le Grand avait les couilles pleines et un air de gamin, depuis que nous étions sortis de l’ascenseur, ou il avait joué avec mes tétons pour être sûr qu’ils soient bien durs sous ma robe Adam & Eve extra légère. Il m’écoutait avec un petit sourire lui lire des extraits du Guide To Getting It On que je trouvais top essentiels sur les baisers, style « The reason it is called French kissing is because French women found it to be an effective way to make French men stop talking. » et « Don’t cling to your partner’s mouth like it’s a New York City parking space. » Il tournait les pages de son Ken Follet en tcheckant les MILF qui buvaient du Perrier avec leurs petits garçons, près de nous. J’avais remonté mes cheveux en un chignon qui dégageait ma nuque et retiré mes sandales argentées, pour caresser les jambes de mon mec, presque distraitement, en lisant sur les allergies au sperme, les érections inopportunes et le precum.

J’ai demandé à Alexandre Le Grand s’il voulait me faire un suçon sur les seins, pour rendre presque invisible la grosse piqûre de mouche noire que j’avais dans le décolleté, cadeau d’un séjour au chalet de mes parents (traîner en monokini sur le quai, en priant pour l’apparition de canards, n’a pas de résultats esthétiques heureux). Mon mec m’a plutôt dit qu’il voulait me la rentrer profond dans la chatte, sa langue. J’ai dit wouah et je suis toute douce, tu vas aimer, je me suis rasée avec une crème au melon d’eau pendant que tu faisais ton jogging, ce matin. Nous avons laissé nos livres sur la table, avec son icepresso presque terminé, et mon vanilla latte glacé.

Presque personne à l’intérieur du Second Cup, et les toilettes étaient retirées anyway, près d’un rack de Nightlife et de Hour. Je me suis regardé dans le miroir en faisant des faces de pseudo pornstar, je défaisais mon chignon, je le refaisais, Alexandre était dans mon dos, je sentais sa bite entre ma craque de fesses. Il m’a pris les mains, les a posées sur les rebords du lavabo, m’obligeant à me arquer, il a remonté ma robe, m’a léché la chatte. Il a dit que je goûtais la sueur. Il a baissé ses bermudas et m’a rentré sa bite, en écartant mes fesses pour bien voir mon trou. Je me sentais super mouillée, sa bite me pénètrait à gros coups, il me tenait par les hanches, je le regardais me prendre, dans le miroir, j’aimais ses mains, j’aimais son visage qui devenait rouge, j’aimais sa bite, putain qu’il la bougeait bien. J’ai laissé couler l’eau, pour couvrir un peu mes cris, il m’a presque écrasé le visage dans le miroir, quand il a joui, brusquement, mon corps projeté vers l’avant, le lavabo qui me bourrait le ventre, comme sa bite.

Quand nous sommes sortis des toilettes, nous avons entendu le rire de hyène d’une grosse madame. Alexandre Le Grand m’a dit tu as remarqué, je suis presque aussi mince qu’il y a dix ans. Je lui ai dis je te veux pas maigre mon chou, tu es parfait, prends-toi un morceau de gâteau au fromage et bleuets, tu as perdu trop de calories en me baisant à donf.

2 Réponses to “French Kiss et plus, si canicule”

  1. Garamond Says:

    Chanceux ton Alexandre…..Mais c’est risqué de faire ça dans des bécosses publiques, non ?

  2. melodienelson Says:

    Haha Garamond, sans joke, même si c’est pas subtil, je crois pas que personne ne m’ait prise par surprise pendant que je baisais dans les toilettes. Jamais aux toilettes de l’Uqam, jamais aux toilettes du Mont Avila, jamais aux toilettes d’un resto dans le Vieux-Montréal dont j’ai oublié le nom, jamais aux Foufs quand j’avais seize ans, jamais au Second Cup. Mais le risque était très faible cette fois, parce que le café était quasi vide, vraiment, et que ça été très rapide.

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