Mes amours détruisent et reconstruisent une voix ferrée depuis vingt minutes, avec une carotte dans la bouche, aussi grosse que s’ils se déguisaient en Winston Churchill et que la carotte remplaçait le cigare.
J’ai alors le temps de vous écrire et de rajouter du lait au chocolat dans mon café, yeah.
Ce que j’aime plus qu’enfiler des bottes d’hiver au lieu de talons hauts:
Manger des céréales sucrées. Tendances beauté imprévisibles – teinture pour poils d’aisselles, ok. Ne pas me perdre. Illustrations satyriques de John Holcrof. Avoir des enfants qui se prennent pour Winston Churchill. Bande dessinée In God We Trust. Une playlist de chansons de Noël – Fiona Apple s’y retrouve. Des affiches à New-York. Peut-être que tout le monde la connaît, je suis en retard –mais Fancy, la vidéo d’Iggy Azalea qui la montre en héroïne de Clueless. Finir des bouteilles de blanc, partout où je vais.
Et ce superbe texte de Mark Manson, sur ce que nous devons nous poser comme question, par rapport à ce que nous souhaitons dans la vie, ou plutôt, ce que nous sommes prêt à supporter comme efforts et souffrances pour avoir ce que nous souhaitons dans la vie:
“Because if you want the benefits of something in life, you have to also want the costs. If you want the beach body, you have to want the sweat, the soreness, the early mornings, and the hunger pangs. If you want the yacht, you have to also want the late nights, the risky business moves, and the possibility of pissing off a person or ten thousand.
If you find yourself wanting something month after month, year after year, yet nothing happens and you never come any closer to it, then maybe what you actually want is a fantasy, an idealization, an image and a false promise. Maybe what you want isn’t what you want, you just enjoy wanting. Maybe you don’t actually want it at all.”
Bonne semaine y’all! Bisous soufflés!
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