Marie-Julie Gagnon a eu une idée vraiment intéressante pour un nouveau blogue : mettre les auteurs du Québec en valeur, les montrer autrement que sur un quatrième de couverture, et les inviter à parler de leur premier livre, qu’ils en aient publiés un seul ou cinquante.
Le premier auteur qu’elle a rencontré est Patrick Dion, au café Art Java. Pendant qu’elle lui posait des questions, je lisais avec des gros yeux découragés The Porn Trap, et je jouais avec la paille de mon cappuccino glacé. Je m’étais remis du gloss sur les lèvres, et j’avais suivi Marie-Julie Gagnon sur la terrasse extérieure du café, pour lui parler de Jésus, de mon visage que je regarde dans un miroir quand j’écris, de Calinours, et de mes rêves de petite fille.
Admirez mes grosses boules : http://prefaces.wordpress.com/2010/07/23/melodie-nelson-vivre-dans-une-chanson-de-gainsbourg/
juillet 24, 2010 à 7:00 |
J’aime tes grosses boules, mais j’aime aussi ton beau nez juif, ça fait un beau duo 😉
juillet 24, 2010 à 7:27 |
Merciiiiiii! J’adore mon gros nez juif, et c’est drôle, avant je voulais en avoir un plus petit, mais depuis que mes seins sont big, je trouve aussi que ça va bien ensemble, et jamais je ne changerais mon nez!
juillet 24, 2010 à 8:16 |
Super entrevue! J’ai bien aimé les questions et surtout les réponses que ça t’amenais! Et très bon le concept petite robe rayée rose, noeud dans les cheveux et milkshake au chocolat! Ça fait version moderne des 50’s 🙂
août 3, 2010 à 1:56 |
Kay: C’était super agréable, comme moment, je me sentais parfaitement à l’aise avec Marie-Julie. Et je portais des souliers plats, oh le drame, mais merci de ne pas l’avoir remarqué haha. Bisous!