Mélodie Nelson

« I would urge people, men especially, unless they’re bisexual, to avoid the two-male threesome. You’re essentially getting less there than you would have got anyway. Half the involvement in sex and at least doubled the risk of someone farting in the room. And the constant threat of what I know as nut brush. Nut brush is the phenomena where if you take a threesome to its natural conclusion you may very well find your testicles being impeached by another man’s testicles. That’s not my idea of a party. »

Russell Brand, comédien qui aime se masturber et futur mari de Katy Perry

J’ai lu cet extrait dans la revue Rolling Stone, je m’étais abonnée l’an dernier parce que je voulais en connaître plus sur d’autres chanteuses que genre Britney Spears, mais finalement je trouve ça super plate comme revue – sauf quand il y a des citations juteuses comme ça.

Même si c’est excitant de penser à deux mecs qui bourrent les petits trous d’une pétasse, c’est vrai que les trips à trois avec deux mecs, c’est pas toujours réjouissant. Ma première fois c’était quand j’étais escorte, et il y avait clairement un de mes clients qui était amoureux de la bite de son meilleur ami. Ma deuxième fois, nous avions tous trop bu, mais surtout moi, évidemment, et je m’étais même pas rasé la chatte. C’était pas le pire, mais passons, je reste pudique sur certains trucs, comme le bouton que je dois détacher de mes skinny jeans quand je mange trop de gâteau au choco, et mon envie de traîner dans un salon de bronzage.

Étiquettes : rolling stone, russell brand, threesome

This entry was posted on avril 26, 2010 at 4:26 and is filed under celebrity, questionnement existentiel. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. You can leave a response, or trackback from your own site.